Le Mari Que Personne n'Attendait
r d'un torse, le souffle rapide d'un homme, et cette odeur âpre, lourde, qui lui indiquait trop clairement
obilisa
s qui je
n claqua d
à sa femme, comme si ce moment faisait naturellement partie d
u t'appell
qu'il l'avait vue franchir le seuil, il avait compris qu'elle n'était pas Amelia Taylor. La vraie héritière n'aurait jamais accepté d'épouser un garçon du village, même pour respecter un vieux pacte entre deux famil
mura-t-elle, re
courage fragile lui tordit quelque chose dans la poitrine, un sentiment qu'il n'aurait pas su nommer.
u es mon mari. C'est norm
outtes glissaient de son front jusqu'au bout de son nez. Son souffle était court. Lui, de son côt
moment, attrapa sa main
s encore écarlates, perdue e
oua la
Tu es épuisée. Es
e voulais
d'être mariée. Ça viendra. Je
n léger souffle régulier qu'elle réalisa qu'il s'était assoupi. Endormi, il semblait presque différent : son profil tranché, ses sourcils un peu trop fourni
épétaient que les Anderson avaient jadis été proches de leur famille au point de signer un accord matrimonial, puis qu'un malheur avait brisé leur fortune. Depuis, ils vivaient cachés
use un type pareil ? »
ionnait les amants et tes frères et sœurs toujours dans
eut épouser qu'un bon à rien »
avait parlé d'u
am à la place de ta sœur, je fi
is le couloir, avait a
nous remercier de t'o
la nausée. Elle rouvri
t déjà dans la pièce. Le li
avait