Mon Amour Bafoué, Ma Revanche Naissante
a
errière un semblant de pudeur. Une image de désordre, de panique. Mes larmes coulaient toujours,
était douce, remplie d'une fausse sollicitude. Il
, pas trahie. Juste malade. Il ne voyait rien, ne
ecouvraient ma cheville. Il a pâli. Le masque de l'indifférence a
enouillé devant moi, son visage proche du mie
homme. L'homme qui m'avait abandonnée, qui m'avait brisée, qui m'avait jetée aux loups. Et ma
dit, ma voix calme, presque glaciale. «
de gêne, a traversé ses yeux. Il a sec
amira. Elle n'allait pas bien. » Son excuse, usée et prévisible, m'a donné envie de hurler. « Ma
it vide, ses mots creux. Mon cœur, autrefois si vulnérable à ses charmes, éta
verre d'eau, ma chérie.
esseur charismatique, le prodige de l'architecture. J'avais été sa meilleure élève, puis sa protégée, puis sa partenaire, et enfin... sa femme officieuse. Il m'avai
pour l'ombre qu'il essayait de recréer ? La pensée m'a déchirée. Cette relation que j'avais idolâtrée, c'était un c
rre d'eau à la main.
« Aurélien, j'ai besoin d'être seule. Je
é. « Quoi ? Mais pourquoi
ruse s'échappant de mes lèvres. « J'ai besoin de plus d
mbre d'amis, m'installant doucement sur le lit. Il a essayé
avec toi, »
t ma main. « J'ai juste beso
ns la pièce. Sa propre sonnerie. Il a
bien. Je dois y aller, Léa. » Ses ye
i était cet
voix était
uitté la pièce, se dirigeant vers son bureau, sans doute pour pr
Samira. La dernière publication. Une photo d'elle, rayonnante, un bouquet de roses rouges
un homme. Un homme que je connaissais. Aurélien. Il prenait la photo, son visage s
petit cœur sous la photo. J'ai aimé la publication. Un acte de déf
a cheville était devenue insignifiante face à la douleur lancinante de la trahison. Une nouvel