J’ai rencontrée un loup-garou
r est plus grand que moi comment
où est-ce
~~~~~
sation sur une quelconque Map. Je me trouve, je
... faut
e je peux. Ce n'est peut-être pas la technique la plus recommandée pour transporter un loup blessé, mais je n'ai pas d'autres choix. Et par chance, l'animal se laisse faire et
uite et venir m'aider à transporter ce loup qui pèse une
uand j'aperçois une petite étincelle autour d'une plante, comme un scintillement. Je m'a
t pas de grossir encore et encore. Jusqu'à se décrocher de ses racine
passe ?! criais-je hor
à s'avancer vers le lou
ne t'en approche pas !
iliser immédiatement et
aniquer autant. Me répond
outes les directions sans a
mais-je en me rapprochant
pourtant. Rit la
immense plante verte. Qui semble
e j'entends ? demandais-j
à pour t'aider à transporter
ça. Je me suis sûrement frappé la tête contre un arbre o
fougère et si tu veux mon avis tu dois avoir un don extraor
ens.. Chuchotais
ngé d'idée je peux repart
nt une plante peut m'aider. Dis-je doucement en passant une main dans la fourrure du loup. Au même m
uer le chemin ! s'écrie Claire en agrandissant une de ses feuill
? poursu
légèrement méfiante en
vec une extrême délicatesse. Elle le pose dans la drôl
le avec joie en se
pour me suivre tu n'as pas de visa
râce à mon lien avec la terre, je ressens mon environnement comme si
mettant en route accompagnée de l
trange.. Et si Clai
lus tard, je repren
ourquoi venir m'aider. Lui demandais-je en
êt aux milieux de nulle part à ne ressentir que les mêmes environ. Alors, même si se n'est que pour quelque minute ou ju
vous viviez de cette façon.. Lui déclarais-je
. Il en va de même pour la plupart des végétaux. Néanmoins quelques petites plantes comme moi chérissons se rêve irréalisable du plus profond de nos âmes. Nous somm
poésie dans ton ancienne vie ? blaguais
avoir des remords de l'avoir accusé sa
*
us rendons au stationnement d'où je déverrouille les portières de ma voiture et aide la fougère à mettre le loup à l'intérieur sur l
in de moi, c'est ça
nt puis une idée fle
s avec moi vite. Lui dis-je en saisissant une d
u cerisier pleureur. Claire ouv
! s'écrie-t-elle en me se
viens souvent. Expliquais-
e rentrer vite pour le loup !
igne de la main. Une fois revenue sur le stati
*
mon salon. Je lui mets une couverture au sol pour qu'il dorme dessus ainsi qu'un bol d'eau au cas où il aurait soif. Puis
st même mis un bandage et étrangement il s'est laissé
ue pas dormi de la nuit ! Je fais quoi moi maintenant ? Je décide d'aller prendre une douc
*
père qu'il ne mourra pas cette nuit, sinon j'aurais un sacré problème. Je déci
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