Il a promis l'éternité, puis il m'a abandonnée
enêtre le paysage flou. Le bus était presque plein, les élèves bavardant avec enthousiasme à propos du camping. Deux sièges restaient libres,
n'étai
utre que l'anxiété qui me rongeait l'estomac. Il me donnait toujours la priorité.
ersée en arrière. Il lui a murmuré quelque chose, et elle lui a donné un coup de poing joueur su
des à côté de moi. Pendant une fraction de seconde, j'ai vu une lueur familière dans ses yeux – la reconnaissance
t de manière joueuse dans son biceps. Ses yeux, brillants et calculateurs, ont croisé les m
ement. Il a pris une inspiration, puis s'est retourné, laissant Alix le guider vers le fond du bus, où deux sièges venaie
e. Encore. Publique
n visage à adopter un masque vide. Mon
oir au fond. C'est juste plus simp
i pas
ppareils auditifs, hein ? Je sais que c'est bruyant
à ses mots vides. J'ai simplement bloqué son numéro. La petite satisfaction a été fugace, avalée par le trou béant dans ma poitrine. J'ai sorti mon
vité : une chasse au trésor, en binômes. Mon estomac s'est tordu. Je détestais ce
mielleux sur le visage. « Chloé ! Toi et moi, hein ? Meilleures amies !
vacillé, mais ses yeux se sont rétrécis. « Qu'est-ce qui
Je ne lui faisais pas confiance. Pas aprè
s liens. Toi et moi. Journée entre filles dans la nature. » Sa voix est tombée à un murmure
ochée encore plus, sa main cherchant à nouveau mon bras. Cette
lque chose de laid. « Très bien », a-t-elle siffl
en arrière. Son pied s'est pris dans une racine invisible, et elle est tombé
! » a-t-elle hurlé
é vers elle, son visage un masque d'inquiétude
vers moi. « Chloé... elle... elle m'a poussée ! Je vo
poussée. Le mensonge flottait d
t doucement sa cheville. Il ne m'a même pas regardé
er, ma voix rauque de choc et d'indignation
étaient maintenant fixés sur moi, remplis d'accusation et de dégoût. Marc, l'ami de Léo, s'est avancé, son visage t
té, ma voix se brisant, à peine audible au-
son visage dans l'épaule de Léo. « Elle m
nsformant en condamnation pure et simple. Folle.
ns tremblaient. J'étais piégée, en
gentils, étaient maintenant durs, froids et totalement dépourvus de pitié. « Chloé »
p. Moi ? M'excuser ? Pour quelqu
à peine un murmure. « Je ne le
se se resserrant sur Alix. « Elle est blessée. Et elle est
t un plaidoyer désespéré, mais elle s'est perd
ses yeux flamboyants d'une colère inconnue. « Tu veux faire passer Al
ne se contentait pas de la choisir ; il se retournait activement contre moi. I
t venimeux. « Vas-y, la tarée. Dis que tu es désolée. Tu causes toujours des problèmes, n'est-ce pas ?
froide et sans émotion. « Chloé. Excuse-toi. Maintenant. » Il s'est levé, Alix toujours accrochée à
me poussant en avant. Mes jambes ont fléchi. Je suis tombée, mes genoux heurtant le sol rug
ones, leurs flashs crépitant, capturant ma dégra
e et claire, a ordonn