Mon Empire, Mon Fils, Mon nouvel amour
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d'accouchement, mon mari faisait la une de tous
ce, il a emmené sa maîtresse actrice dans un palace à Courchevel
, prétendant que mon mari aurait souhaité que je meure en couches. Puis, e
e faufilait en secret dans la chambre de notre bébé pour pince
e moi, et a même essayé de m'enleve
tout le reste. J'étais une orpheline, une épouse trahie, et ils es
u'Antoine Dubois était la personne la plus p
pit
s comme « complications » et « miracle ». M'accrocher à la vie avait été une guerre que j'avais à peine gagnée. Mais le vrai combat, celui qui m'a
frôlais la mort en mettant au monde son enfant, Antoine, mon mari, le puissant PDG d'une start-up high-tech, faisait les gro
de la dépression. Mon unique frère, un souvenir tragique. J'étais une orpheline, maintenant une épouse trahie, à peine une mère. Ils parlai
vulnérabilité soigneusement cultivée et aux grands yeux innocents. Il l'a emmenée dans un palace isolé à Courchevel, une forteresse construite pour protéger sa maîtresse d
étrange mélange d'épuisement et d'irritation. Il n'y avait aucun remords dans ses yeux, aucun soul
dénuée de la chaleur que j'avais autrefo
e faible, était stable. « De quoi, Antoine
lpabilité, mais de l'agacement. « Ce n'est pas ce que tu croi
un son rauque et douloureux. « Ça avait
ce. « Tu as mené ton enquête ? » Son ton était accusateu
able de chevet. J'ai tapé sur l'écran et l'ai tourné vers lui. Il affichait une photo volée, claire et indéniable : Antoine, le bras autour de Chloé, l
ispée. « Ce n'est ri
-je rétorqué, ma voix gagnant en force. « Un coup monté où tu passes plus de temps avec
heveux parfaitement coiffés. « Elle a eu une vie difficile, Aliénor. De
. « Mon père est mort subitement, me laissant orpheline. Ma mère a succombé à la dépression, et mon unique frère... disparu dans un accid
m'avait jamais vue, pas vraiment. Pas la jeune fille qui s'était battue contre un deuil inimaginable. Pas la femme q
te chambre stérile, les pleurs de notre fils nouveau-né faisant écho au vide dans ma poitrine. Il m'a
sayant de guérir. Mais la paix n'allait pas durer. Pas tant que Chloé Lambert respirait le même air. Je me suis souvenue des mots d'Antoine, des années auparavant, quand il avait comm
illi. Chloé Lambert, effrontée et audacieuse, les a tous contournés, apparaissant dans mon salon comme un mirage ve
s que tu aurais compris le message. » Elle a jeté un regard autour de ma maison méticuleusement entrete
tables malgré la rage qui bouillait sous ma peau, ont rencontré les siens. « M'effacer ? » Ma voix était
e ta froideur, du fait que tu ne l'as jamais vraiment compris. » Elle s'est penchée, sa voix baissant à un murmure conspirat
aison, la maison dont j'ai hérité, la maison que j'ai construite ? » J'ai ricané. « Tu es une id
oudra aussi mon enfant. Il m'a dit qu'il voulait essayer de fonder une famille avec quelqu'un
age, avait à peine une semaine. L'image d'elle, tenant mon
e et venimeuse. « Sors de ma maison av
de ton mari ? Il s'en fiche. Il m'a dit... il m'a dit qu'il aura
ette femme, cette gamine, osait menacer mon enfant, osait se moquer de ma douleur, osait suggérer qu'Antoine souhaitait ma mor
n service de sécurité, maintenant en alerte, s'est déplacé rapidement. « Assurez-vous qu'elle ne remette plus jamais les p
e expression de terreur sauvage et désespérée. « Non ! Vo
mes loyaux avançaient, leurs vis
ai-je murmuré, ma voix dégoulinant d'un mépris glacial. « Tu viens de faire l
n étouffé et désespéré. Le silence qui a suivi était assou
nt lentement serrées en poings. Le jeu