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Trop tard pour son vain regret

Trop tard pour son vain regret

Auteur: Gavin
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Chapitre 1 

Nombre de mots : 1444    |    Mis à jour : 14/11/2025

arfait qui m'avait promis l'éternité. Après la naissanc

u sur mon téléphone : *Étienne Du

ement un infidèle. C'était un monstre qui se moq

'accouchement... C'est tro

qui m'a laissée infirme, puis a ruiné l'entreprise

s cassé la main pour me protéger, le garço

et étranger cruel qui me rega

e reprochait tout, l'amour que j'av

mposé un numéro que je n'avai

e. « C'est Audrey. J'ai besoin de ton a

pit

e vue d

e sur Instagram. *Étienne Dubois te trompe. J'ai des preuves.* Mon souffle s'est blo

deur du café et de son eau de Cologne familière flottait jusqu'à la chambre. Il avait l'air

x lèvres, un verre de jus d'oran

, a-t-il dit, sa voix

éposant un baiser

n dor

i s'était taillé une place dans mon cœur depuis que nous étions enfants. Il ne p

Nous avions dix ans, nous jouions dans le vaste domaine de sa famille au Cap Fer

nt la main juste pour me protéger. La douleur lui importait peu. Il ne se souciait que de mes larmes. Il

uxembourg, ressemblait à un rêve. Il m'avait fait tournoyer, son rire résonnant,

elui qui me tenait la main à travers chaque peur et chaque triomphe. Il était là quand j'ai eu mon diplôme, quand j'ai c

lé des nuits entières à lire des livres sur les bébés, qui m'avait serré la main à chaque contra

lague cruelle et malsaine. Que

estomac s'est noué. *Vérifie son sa

laciale m'a envahie. J'ai fixé le message, un tremblement parc

aides, robotiques. Son sac de sport gisait sur le sol, oublié après son entraîn

vision s'est brouillée. Le monde a tourné. L'odeur de l'eau de Cologne d'Étienn

e tapis moelleux, les messages anonymes clignotant dans mon esprit. La vér

re ». Une seconde plus tard, la demande a été acceptée. Un autre message est apparu. *Va au Velvet Whispe

mal, de voir, de confirmer ce cauchema

isolé, mon cœur battant la chamade, mes yeux balayant la pièce. Puis je l'ai vu. Étienne. Il riait, la têt

ui me retournait l'estomac. Je les ai observés, le souffle coupé, alors qu'il se penchait, ses lèvres tr

les « longues heures » d'Étienne au bureau. La femme qui avait complimenté mon éclat pos

contre ma bouche, essayant d'étouffer les sanglots qui menaçaient de s'échapper. J

vé la main pour les faire taire. Il s'est penché plus près de Kendall, sa voix baissant

post-partum. Tout ce traumatisme de l'accouchement. C'est trop. » Il a frissonné de façon théâtrale, attira

n de se dissoudre. L'homme que j'aimais, l'homme qui m'avait promis l'éternité, était

s comment je suis rentrée. Je me suis juste retrouvée à genoux près du berceau de

nt il avait rêvé. Il l'avait appelé sa plus grande bénédiction. Tout était un mens

, sa prise étonnamment forte. Une secousse m'a traversée. Mon fils. Mon magnifique fils. I

Mes doigts ont hésité au-dessus du bouton d'envoi. Non. Pa

la veilleuse. Mon amour pour Étienne était mort ce soir, étouffé par sa cruauté et sa

Kendall. Puis, j'ai écrit un message au compte

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