Trop tard pour m'aimer maintenant
d'Alessia « B
a Mercedes noire, le cuir froid contre ma peau, je suivais les lumières de la vill
tume fissuré et des lampadaires vacillants
l, une forteresse de verre et d'acier. Les portiers dans le
ans un ascenseur privé qui montait avec
yeux. J'ai gardé une expression neutre, je me suis faite toute petite. Il voyait une e
eur se sont ouvertes d
le ét
e Sel
nde et mince, avec des cheveux couleur de jais et des yeux d'un bleu glac
de vin à la main, et me considérait avec le mépr
stophe », dit-elle, sa
endue rire en arrière-plan de ce der
ui faisait trembler
que prévu. » Il la couvait du regard, lui embrassait
vers moi. « Karin
n'a offert ni salutation, ni sourire. J'étais un fantôme d'un passé qu'il é
esprit tournant à plein régime. J'ai tout catalogué : les œuvres d'art coûteuses sur les murs, l'emplacem
on empire, cherchan
Karine, un espace lumineu
voix pleine d'adoration. « Une âme tour
ut d'un long couloir, une petite pièce sans fenêtre
l'intérieur
ersé le visage de mon père. Il a vu le contraste sa
une épaisse liasse de billets et me l
-il dit d'un ton bourru. «
t de l'argent pour acheter mon s
efermant sur les billets. Le premier vers
ment de lui survivre. C'ét