Mon évasion au Montana : Un nouveau départ
lie
pendus dans l'air, tra
larmes calculées se transformant en s
ais... où est-c
e, enfouissant son visage dans so
e pure fureur, enroulant un br
ue tu as fait
nse et las. C'était comme regarder une pièce de théâtre dont je
e visage emprei
de Chloé. Elle n'a nulle part où aller. Tu ne peux p
rojet désastreux, lui évitant d'être renvoyée. La femme qui avait pleuré sur mon épaule pendant des semaines après sa première grande rupture. Elle m
j'étais du mauvais côté. Tout son soutien était
pas, Léa, » dis-j
nos amis ! Tu ne peux pas faire une scène et t'attendre à ce que tout
te vague entr
. Vas-tu lui reprocher ça éternellement ? C
té. Mais j'étais déjà insensible. Je regardais sa bouche bouger, j
ulte depuis mes vingt-deux ans, forcée d'élever l'enfant de mon
as d'Alexandre, ses yeux rouges et gonflé
importe quoi. S'il te plaît, ne me fais pas partir. » Sa voix
. Je reculai, retirant mon bras c
etit mouveme
ébucha en arrière avec un cri dramatique, s'eff
ule h
cula – une vraie bousculade, énergique cett
va ? Elle t'a
s des années. Pas même quand j'étais allongée sur le sol, la tête en sang. Cette vision fut un coup
ambe. « Je crois qu'elle est tordue. Alexandre
lagrante, calculée. Un
prudents et tendres. En se relevant, il regarda par-dessus so
e toi, Amélie, » dit-il, s
rieur de la maison, me laissant seule
, vestiges d'une époque que je ne voulais pas me remémorer, une époque d'une autre d
ion et de mépris. Léa secoua la tête, un air de profonde pi
a ailleurs. C'es
dant à voix basse, sur un ton réprobat
n revien
vre C
ujours été
construite, les gens que j'avais appelés mes amis, et je sentis une vague de quelqu
forte maintenant, plus claire. «
je connaissais à peine, l'invité
élie. Ça ne te va pas. Pas étonna
ses mots me co
e serviettes jetées et de verres à moitié vides, Léa fut la dernière
mme si elle partageait un secret. « Quand il l'a port
ai, sans
sou
ie. Il t'aime. Tu dois juste
rière elle avec un léger clic, me scellant