Ce que veulent les Alphas
royais lui avoir une confiance absolue. Mais maintenant... je n'en sui
isses, mon corps face au sien. Je ne peux supporter son regard, mais cela ne semble pas le déranger. Au contraire, il caresse lentement mon do
ien réfléchi, Kaira. Fais-moi confiance, comme tu l'as toujours fait. Tu sais que je t
une certitude indéniable, et pendant un instan
vraiment s
enivrant, son contact me procure des frissons. Il caresse mon cou du bou
rsonne d'autre que lu
même que je puisse comprendre, mon mamelon est dans sa bouche, ses dents le mor
ntense et picotante se répand entre mes cuisses, et je sens la pression indubitable de son érection contre ma pe
fleurer mon épaule tandis que sa main
e du roc, et je
intenant qu'il doit être tout aussi consumé que moi. Je gémis lorsque sa virilité effleure mon clitoris – i
en moi. Dès que nos corps se touchent, je me fonds contre le
s fesses tandis qu'il me pénètre. À chaque coup sec, il me remplit entiè
l ne faut pas longtemps avant que mon dos ne se cambre, un doux gémissement de sa
'a vaincu. Je me suis
a
chambre, le regard perdu dans mes propres yeux, ces refl
e ce matin, en précisant que Daclan l'avait choisie pour « l'événement ». Mais, fran
ma peau. Une fine sangle en cuir marque ma taille et dessine mes formes avec une précision presque trop calculée. P
ion n'est pa
'a gardée contre lui encore et encore, sa fièvre, sa force, sa possession - tout cela résonne encore en moi
t bien. Et, malgré mieux sa
. Daclan est malin, méthodique. S'il m'envoie à l'Alpha Steven, c'est qu'il a prévu quelque chose
m'a
eux tandis que je descends vers l'entrée
uil. Passer cette porte me donne l'impression de quitter qu
'ai demandé s'il allait venir me dire au re
a sont partis tôt.
ant. Comme il y a dix ans. Jetée
enser ça. Il m'aime. Perso
rochant, et le son de sa voix me donne envie de
rge dans mon dos pour me pousser doucement vers la voiture.
la banquette arrière et une
.Sal
ourner entre ses doigts une coupe de champagne qu'elle n'a pas encore portée à ses lèvres. Son visage affic
euxième après moi - ou peut-être la premi
ui, elle l'est encore davantage. Une robe de cuir sombre épouse ses lignes avec une aisance presque provoca
nt, agacée - je détourne le regard, alors que St
ut-être que, pour elle, je suis l'erreur de Daclan, son caprice. Et pourtant, c'est elle que
contre lui. L'odeur forte qu'il dégage me frappe aussitôt, épa
pierre. Tu veux que je