Princesse de la Mafia : Fuir son mensonge mortel
rina
accrochée à son manteau coûteux. Il portait un plat à empo
dit-il, la voix douce. « De la bi
illerée de cette même bisque et la recracher en se plaignant que c'était « dégoûtant ». J'a
moi, l
e. J'ai sauté du lit, mes pieds nus claquant sur le linoléum froid, et j'ai à peine atteint la salle de
ontre le carrelage fra
côté de la porte, empreinte d'une anxiété bien
performance, et j'en étai
rûlante et rapide. En moins d'une heure, le monde est devenu un flou de lumières stériles et de mouvements fréné
voix étouffées. Julien et son cousin, le Dr Brennen Fournier, se tenaient dans la faible
ue. « Cette fièvre... elle ne tiendra peut-être pas
ne le foie à la mère d'Ava. On dira à Kat que la famille du donneur
me laiss
a. Tu dois toute ta vie à sa famille. Ce n'est pas seulement de
s entendue auparavant. « J'ai passé trois ans à ses côtés. Trois ans de ma vie à attendre qu
honte silencieuse et le chagrin que je portais pour les défaillances de mon propre corps.
dans l'obscurité. Il me croyait endormie. Il a tendu la main et m'a
u, comme un fer rouge, marqu