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Le Règlement de Comptes de l'Héritière : Dix ans de mensonges

Le Règlement de Comptes de l'Héritière : Dix ans de mensonges

Auteur: Gavin
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Chapitre 1 

Nombre de mots : 1798    |    Mis à jour : 23/10/2025

que je présente mes excuses à sa maîtresse enceinte. C'était le gamin fauché que j'avais

vait orchestré l'accident de voiture qui avait causé ma fausse couche des années auparavant,

stoire. Il a étalé leur amour à la face du monde, lui achetant des îles et des diama

agé pour notre fils perdu, s'est transformé en cendres. Tout n'était qu'un menso

vie, j'ai fait irruption. Avec les preuves en main et mes alliés à mes côtés, j'

pit

e de Caroli

i se tenait maintenant dans notre salon, exigeant

s brutal. Le monde la voyait et murmurait sur la dévotion de Jacques Guillaume. Le gamin fauché des mauvais quartiers qui s'était élevé po

mmerciale calculée. Il était l'homme que j'avais sorti de l'ombre, l'homme que mon pèr

e amour était le fo

e femme nommée Karine Fleury se tenait au milieu, la m

plus tôt, sans prévenir, un petit sourire tr

nant d'une douceur qui ressemblait à du poison. « Je

on immense bureau en acajou, le silence dans le

ma voix aussi froide et v

que vous le sachiez. Il veut que vous

ait détendu, sa bouche douce. C'était une photo de lui dans notre lit, et l'angle était intime, pris par quelqu'un allongé à côté

ôle étroitement enroulée que j'avais passé

nt levée, j'ai contourné mon bureau et j'ai

es yeux et j'ai calmement ver

trempant son chemisier blanc immaculé. Elle a ha

a-t-elle hurl

mon crâne. Je l'avais suivie dehors, l'avais regardée appeler Jacques, sa voix un gémissement pathéti

re payer, Carolin

mpé, des gouttelettes de pluie s'accrochant à ses cheveux sombres. Il ne me regarde pas avec in

bouche. Je passe devant lui, me dirigeant vers le bar. Mes

toi », crache-t-il, sa

annonce. C'est fini. Prends tes affaires. Pr

fulmine-t-il en faisant un pas v

« Comment devrais-je l'appeler ? La future Mme Guillaume ? La stagiaire ambitieuse qui a é

gissement résonne dan

ste avant, sa poitrine se soulevant. Ses gardes du corps, qui lui sont loyaux, entrent silencieusement derrière lui, c

sa voix un grondement calme et dange

s-tu la moindre idée de ce que tu as fait ? » dit-il, sa voix tombant à un murmure terr

ice au-dessus de son œil. La

les mots un refrain familier et culpabilisant. « Et

» Je ris, un so

e affecter sa capacité à avoir des enfants à l'avenir. » Il livre cette phrase

la pluie. Les mots soigneusement choisis de Jacques mai

rre. « La femme stérile et jalouse attaque la jeune maîtresse fertile. C'est une bonne histoi

fonce, croisant les jambes. Je suis parfaitement à l

tée d'acier. « Toi, le garçon venu de nulle part. Je t'ai tout donné. Mon nom. Les

ings se serrant à ses côtés. « Tu n'a

se dirige vers l'intérieur de sa vest

se crispent, leurs mai

ssant avec mépris. Il ne croit pas que je ferai quoi que ce soit. Il

dis-je si

que je puisse réagir, Jacques se jet

a sécurité. Arthur, un homme deux fois plus âgé que Jacques mais bâti comme un mur

un craqueme

signe de s'écarter, se tenant au-dessus de lui. « Tu travailles pour moi maintena

un air de satisfaction s

e erreur. Il a ou

ouge. J'attrape la lourde carafe en cristal du chariot-bar. Ce

garde du corps le plus proche de moi. I

dentelé de la carafe brisée à la ma

fflai-je, ma voix tombant à un murmure prédat

'arme dans ma main, et pour la première fois ce s

une décennie, semble avoir été chirurgicalement retiré. À sa place, il y a un vide froid

ng sur sa lèvre. « Madame », dit-il, sa l

isant taire. Mes yeux s

r. Et il n'avait aucune idée de l

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