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Un pari à cinquante dollars, une vengeance à un million de dollars

Un pari à cinquante dollars, une vengeance à un million de dollars

Auteur: Gavin
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Chapitre 1 

Nombre de mots : 1058    |    Mis à jour : 23/10/2025

ité au golden boy du lycée. J'avais dix-huit ans, j'ét

evenue « Élise-à-50-balles », la traînée du ba

ient de mon humiliation publique, s'assu

imper au sommet de La Défense, mais je suis morte s

mais compris pourquoi ils

ur dans cette salle de classe, quelques instants avant le pari qui a

», a murmuré Xavier Moreau, u

ffamée avait disparu. À sa place se ten

pit

ue d'Élise

eillée parce q

compagne constante durant ma dix-huitième année. Ma tête reposait sur mes bras croisés, ma joue pressée contre le tissu rêche et bo

les yeux fermés, laissant mes

ement des néons de

rayon sur du papier à

chuchot

out le temps. Elle doit ê

cinquante balles, je

re vie, une vie qui s'était terminée il y a quelques heures à peine dans un luxueux appartement insonorisé du 16ème arrondissement, ces voix n'

ient juste derrière m

u ? » a demandé une autre voix, p

c'est Élise Lambert. Elle est jolie, mais elle est fauchée c

le capitaine de l'équipe de foot et coqueluche du lycée, obtienne une photo compromettante de moi. Dans la

», a siffl

ne image parfaite de vulnérabilité. Mais derrière mes paupières closes, mon esprit était une machine affûtée comme un raso

tout près. J'ai attendu. Des années de négociations à haut risque m'avaien

Tap

mon bureau. L

bien méritée. J'ai relevé la tête lentement, clignant des yeux comme s'ils étaient lo

er M

veux étaient parfaitement décoiffés, son sourire était une chose charmante et travaillée, mais ses yeux... ses

t-il dit, sa

é, ma voix rauque, exactement comme cell

le parfum cher et quelque chose d'unique à lui, quelque chos

dit, non pas comme une question, mais c

pouce frottait nerveusement son index. Il faisait son show pour ses a

ayée et affamée. La proie était un requin

ment de tête, presque im

e. Il s'attendait probablement à une résist

se redressant. Il a lancé un regard suffisant

oigné d'un pas nonchalant, un

ormer en gloussements d'appréciation. Ils pensaient

menant à la réalité. La faim lancinante était toujours là, un rappel froid et

le blague cosmique, m'avait renvoyée en arrière. De r

rreur fatale. Ils m'avaient

c'était moi qui

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