Quand l'alpha pleure sa luna

pit

uerre... elle

és s'approchaient à vive allure du bureau où Addison, la tête basse, achevait l'examen fastidieux des chiffres liés aux ré

e, fugace mais brûlante, traversa son esprit : un regard sombre, des épaules larges, l'odeur familière d'un lien qu'elle croyait endormi. E

rs mois avaient creusé ses traits, tendu sa peau sur un visage trop jeune pour porter

-t-elle, les mains crispé

front, la lui tendit avec une gravité presque solennelle. Addison la saisit, déchira le pl

ressant machinalement le mot « retour ». U

n compagnon rentr

puissance, sans loup, incapable de se transformer. Même un oméga éveillait plus de respect qu'elle. Et lui... lui était parti le soir m

'elle espérait qu'au premier face-à-face, la glace se fendillerait, qu'ils t

réception digne d'un vainqueur ! a

s pressé, presque une course. Si la missive était arrivée, c'est qu'ils ne devaient plus ê

mes. Addison se glissa à l'avant, cherchant la première silhouette familière. Très vite, un nuage de poussière s'é

du grand loup noir, une chevelure claire flottai

ui.

it, appartenait à une seule personne : sa compagne reconnue. Et la femme qui c

t autour d'elle, acé

aie compagne... nous aur

rite d'être Luna...

e un coup porté à ses entrailles. Il

'arrêta enfin,

chez vous,

èrent, escortant la femme enceinte jusqu'au seuil du hall. Là, Zion des

et froide, ro

orte mon enfant. Que rien ne lu

en mental, un éc

d'elle. Et

Pas un mot de plus, pas un regard. Il lui tour

plus étrangère que jamais

aine ? Être enfin acceptée ? Ou suis-je condam

t. Elle voulait pleur