Le PDG a licencié son héritière secrète
vue d'Alix
le bureau silencieux. « Tout le monde le voit, tu sais. Ta façon de marcher. Tu
tion moralisatrice. « Honnêtement, quelqu'un devrait t'appre
taille, les yeux brûlants. Je l'avais fait pour lui. Pour le rêve que nous étions censés partager. Le rêve de construire quelque chose qui comptait. J'avais versé
au, le front plissé d'agacement. « Qu'est-ce qui
Benny, elle recommence ! Regarde ce qu'elle porte ! C'est complètement ina
ge baigné de larmes. J'ai vu le conflit dans ses ye
ement l
ix », dit-il, la voix tendue. « Juste... pour avoir la paix. Tu peux al
ait le fantasme insensé et malveillant de Chloé. Il sacrifiait ma dignité, ma r
t si profonde, si absolue, qu'elle était devenue un engourdissement. Un vide f
x étrangement calme. « Tout ce que tu
privé où je gardais une tenue de rechange, le dos droi
d'une pluie torrentielle. C'est lui qui s'est arrêté. Un jeune entrepreneur ambitieux dans une vieille berline, les yeux brillants d'idées. Il a changé mon pneu, s'est fait trem
tu as besoin d'un travail, ou juste de quelqu'un pour te dir
les banques d'investissement qui se bousculaient pour m'avoir. Je l'ai appelé, lui. Je l'ai tro
premier tour de financement. J'ai travaillé pour un salaire qui était une fraction de ma val
par-dessus une montagne de paperasse et disait : « Alix, quand on réussira, quand t
rmené. J'étais là pour le défi, pour la satisfaction de construire quelqu
ais cru a
je regardais mon reflet dans la fenêtre sombre. La pe
e fille sous la pluie, ne m'aurait jamais demandé de changer de vêtements pour apaiser
e qu'elle avait choqué mon propre père, s'érodait. Elle se tran
orme par-dessus ma robe. Le tissu ressemblait à un li
in, à réévaluer pour quoi,
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