Le fiancé qui l'a laissée mourir
cessant du vent. J'étais allongée dans une dépression peu profonde dans la neige, un trou creusé à la hâte. Brya
ssement aigu qui me vrillait les oreilles. « Elle a déchiré sa propre
sur mes épaules. « Alex ! Alex, ré
oumons me brûlaient à chaque respiration courte et saccadée. Le froid était maintenant une présence inva
istes, un ami de Bryan, s'est penché sur mon trou de neige. « Elle est
as avec inquiétude, mais avec un mépris total. « Je le savais. Ell
note de panique réelle colorant maintenant sa
sous les bras et m'a traînée plus complètement dans le trou de neige, mes bottes raclant inutilement contre la glace. Il
t la neige de ses gants coû
ermant sur le tissu de son pantalon de neige avec
main d'un coup de pied, son expressi
ce de Chloé. « Ne sois pas trop dur avec elle, Bryan.
dans sa voix a été un coup physique. « Allons-y. Elle viendra
t estompés, aval
ais
. Laissée pour morte par l'hom
e frissonner maintenant, une étape terrifiante. Je savais ce que cela signifiait. Ma tempér
vingt centimètres, exposant les couches intérieures aux éléments. Le vent s'engouffrait directement dans la brèche, une agression co
on téléphone satellite avait disparu. Mais il y avait une der
e, conçu pour s'interfacer avec la couverture intelligente. Et cachée dans le poignet de la manche gauche, cousue dans la couture
is l'at
, de se plier vers mon visage, mais il a à peine tressailli. Mon bras droit était légèrement plus réactif.
, engourdis et inutiles, ne trouvaient pa
it comme ça que ça se terminait. Trahie, abandonnée,
ernière bouffée de force. Je n'allais pas mour
s dents se sont serrées sur le matériau épais, ignorant la douleur lancinante da
tite bosse presque in
. Une fois. Deux fois. Rien. Le capteur de pression ét
lé par le vent, j'ai fracassé mon
que imperceptible, a clignoté une
tait a
que douloureux. Il a été immédiatement suivi par une vague
oyablement lourdes. Le monde s'estompait en un blanc paisible et engou
mmençait à me réclamer, une ombre
i, la lumière bleue de ma couverture illuminant son visage. Les fausses larme
voix à peine un souffle contre le vent. «
is juste une crise de colère. Il m'a dit qu'il t'en voulait depuis des années. Il déteste vivre dans ton ombre. Il détes
s, transperçant la dernière
-elle chuchoté, son sourire s'élargis
moi, un dernier geste méprisant. « Ne t'inquiè
ant dans le blanc aveuglant, me laissant avec la t
-