Il pensait que je subirais en silence.
SB secrète de mon mari. Le mot de passe n'était ni la date de notr
archive méticuleuse d'une vie qu'il avait vécue avant moi. J'ai cherché mon n
et d'architecture et lui a confié le projet de ma vie, celui
uvelle responsable du projet. Quand elle a simulé un accident et qu'il s'est p
l attendait de moi que j'endure en silence
j'allais craque
'ai marché droit sur lui devant tous ses c
pit
ue de Chlo
uelle je suis tombée le jour de notre cinquième anniversaire
4
. Isabelle
oit où je cherchais simplement un stylo. Elle n'avait pas d'étiquette, l'air de rien. Mais quelque chose dans la
passe est apparue immédiatement. Un instant, j'ai failli tout refe
uits solitaires à attendre un homme qui était toujours à des kilomètres
te de notre maria
n anniversaire
n anniversaire
is allée avec lui. Un de ses amis, complètement ivre, avait tapé dans le dos d'Antoine et renversé de la bière sur ma robe. « Vous y croyez, à ce mec ? » avait-il beuglé. «
blaient en tap
tr
est déver
enait des milliers de fichiers. Des photos, des vidéos, des lettres scannées, même des ca
illée. Antoine, l'air plus jeune et incroyablement heureux, lui offrant une unique rose parfaite. Une vidéo d'eux dansant dans une chambre
. joyeux. Une joie authentique, simple, que je ne lui avais jamais vue. Antoine Dubois, l'homme qui considérait notr
née de lui pour elle. « Isa, je te décrocherais la lune si tu me le demandais. » C'était une promesse de jeunesse
n propre nom su
rés
'avais pas mérité une seule
te, le bruit me sortant de ma
é dans le bureau, son beau visage marqué par la fatigue habituelle de fin de jo
mais elle était glaciale. C'était le ton qu'il utilisait p
t stable. La tempête en moi s'était calmée, laissant p
douleur – a traversé son visage. Il s'est approché, a arraché la clé USB du port et
s la corbeille com
mme si ce simple geste pouvait tout effac
l ne s'est pas excusé. Il n'a pas expliqué. Il a juste.
t, ma voix aussi
e accablé par une femme hystérique. « Chloé, ar
l y a cinq minutes, quand c'était protégé
e, je sais que j'ai été très occupé. Laissons tomber. On partira en T
llant qu'il agitait chaque fois que mon malheur devenait gênant. Il traitait mes sentiments comme une négociation, croyant que chaque blessure avait u
on, l'air me brûlant les poumons
nt l'homme froid et arrogant qui se cachait derrière. « Ah oui ? Tu veux divorcer ? Très bien. Tu c
a pièce, laissant le dîner d'anniversaire que j'avais passé l'
ne me suis pas levée pour le suivre. J
egardée. Il attendait. Il était si certain que j'allais craquer, que
e et regardé l'assiette de no
la porte d'entrée a rés
finalement plus d'amour à donner. J'avais l'habitude de penser qu'Antoine était juste un homme qui ne sa
comment faire. Il savait cuisiner, écrire des mots d'amo
ne remplaçante. Une idiote amoureuse et pratique qui combl
yant tout ça étalé dans un doss