Rivalité et séduction : Le bad boy et l'insoumise
ENDE
chambre, l'air sentait encore le parfum d'alcool et de désordre de la veille. Étendu sur le ventre, le vis
chevet. Lorenzo grogna, dérangé, et ouvrit les yeux à moitié collés par la fatigue. D'un geste brusque, il se redressa, attrapa le por
o (arr
est
dit à l'autre bout de la
alme mai
Je t'informe que ce so
zo (a
il te plaît ? Tu m'appelles à cette heur
n père se fit entendre, calme
alme mai
mariage est prévu pour aujourd'hui. Ce soir, je viendrai avec le maire et la mariée. Et j'espère, je dis bien j'espère, que tu seras
me une flamme indomptable. Ses poings se crispèrent, sa mâchoire se serr
zo (f
e répète. Compte pas sur moi, père. Je ne veux ni d'un maire ni d'une mariée dans ma maison. Et s
(fer
nzo, n
pi..
e téléphone sur le lit avec rage, puis poussa un long soupir agacé. Les bras croisés d
(voix in
e laisse paraître. Mon père le sait, c'est pour ça qu'il tente toujours de me ramener à la raison. Mais c'est peine perdue. Je ne suis pas un pantin, encore moins un pion. À 22 ans, je suis propriétai
? Non. L'amour, c'est une faiblesse, une chaîne. Moi, j'aime posséder, imposer, baiser et passer à autre chose. Ça fait plus d'un mois que je baise
ble pour mes ennemis plutôt que d'offrir un point faible à qui que ce soit. Mes parents ? Je les aime. Mais je dois rester dur avec eux, les tenir loin de mon monde. C'est ma façon de les protéger. Mon père le sait, pourtant il refuse de
iner. Sauf que c'est impossible. J'aime trop le danger, trop le risque. Je ne baisserai jamais la
en tomber, Lorenzo finit par se lever d'un geste sec. Il quitta le lit, traîna