Le mensonge que mon fiancé a créé
e de Fausti
u'est-ce que t
és de Clarisse. Il ne me regarda même pas, toute son attention portée su
res yeux me brûlant, le monde se dissolvant dans
e. « Je t'ai vue ! Tu le lui as fait tomber des mains
ur était vive, mais l'injustice était plus vive encore. Il ouvrit brusquement le coffre, un e
siffla-t-il, sa voix un grognement sourd. « Peut-être q
l claquait déjà le couvercle, me plongeant dans l'obscurité. J'entendis
rtueux. Il voyait ce qu'il voulait voir, ce qui confirmait son récit :
n apparut, se découpant sur le ciel lumineux. Il n'était pas là pour me laisser s
a bombe l
pas qui est la vraie vic
spoir en moi. La voiture démarra en trombe, et je l'entendis roucouler à Clarisse à
, mon corps était projeté contre les parois dures du coffre. La bombe lacrymogène de
. Je criai, tendant la main pour sentir une humidité chaude et collante se répandre à travers mon jean. L'e
it le petit espace. Mon corps était une toile de bleus et de coupures. Au moment où la
it ni choc, ni remords à la vue de mes blessures. Si quoi que ce soit, ses yeux
ras, ses doigts s'enfonçant dans un bleu frais. Il m'aspergea d'une bouteille d'eau glacée de la glacière.
chappa de mes lèvres. Il voulait que je m'excuse d'avoir été attaquée, d'avoir été emprison
tation. Je trouvai une trousse de premiers secours dans la salle de bain et tentai maladroitement de
un sourire suffisant et satisfait sur les lèvres. Elle avait un petit pa
icitude. « J'ai une idée qui va te remonter le moral. Il y a un vieux pon
vais une peur bleue du
ne bonne idée, Clarisse », dis-
traîner vers la porte arrière. « À moins que tu n'aies quelque chose à cacher ? Damien m'a dit qu'il t'avait vue pa
mensonge, une pure invention, mais je s
e elle l'avait décrit : une construction terrifiante et oscillante de planc
-dessus », dis-je e
. Il passa son bras autour de Clarisse, la serrant contre l