La Vengeance du Fantôme pour l'Amour Perdu

êter mon prestigieux prix scientifique. Non. Pour m'en

sous, je me vidais de mon sang sur le s

envoyé un texto : « Grandis un peu. » Ma mère m'a laissé un m

ncé, Maxime. J'ai suffoqué que j

belle, tu es ridicule. Ne gâc

l a ra

jalouse. Que j'essayais de

t pas le cas.

e maison, je dois observer les gens qui m'ont laissée

pit

ue d'Anabe

'est le béton froid et impitoyable d

que de mon propre sang s'est estompée, remplacée par le silence stérile de l'air. Je flottais, spectatrice de ma

nde, mon monde, continu

à la volée à l'étage. Pas de coup discret. Pas un appel doux de

i dans l'appartement, chargée de son impatience habituel

n minimaliste et immaculé. Il a enlevé ses chaussures en les projetant, laissant des traces de semelles sur le

prix, bien sûr. Pour quelque chose de bien plus import

anchante que du verre alors qu'elle le suivait. « Je ne sais pas

omme si ma collection de revues médicales et de documents de recherche était une insulte personn

murmuré, mais les mots n'étaient que des bouffées d'air silencieuse

un air de propriétaire. Julien s'est affalé sur mon canapé blanc, sortant son

monné, plus pour elle-même que pour les a

mbre. J'ai flotté derrière lui, observatrice impuissante. Il n'a pas hésité devant la porte fermée, l'a simplement poussée et a balay

uris. L'écran s'est allumé, affichant mon blog privé. C'était une simple page protégée par un mot de passe, un journal numérique

a-t-il grommelé en se penchant.

ompte de ma douleur, mais comme une marque de mon immaturité. Il a tendu la main et a refermé l'ordin

ssant mes derniers mots inaudibles piégés à

r mon contact. « Je lui laisse un message vocal », a-t-elle

puyé sur

censés partir pour la fête de Camille dans trente minutes. Ta sœur a travaillé très dur pour ça

inquiétude. Aucune préoccupation pour

peler et tu vas monter dans la voiture avec nous. Si tu te montres dans l'heure

a rac

it mon père, la voix pleine de cer

la porte, ma sœur cadette, Camille. Son visage, un masque parfait de fausse

mélodie douce et délicate. « Tu as des n

chose amère et creuse, monter dan

chérie », a dit ma mère, son ton s'adoucissant

né au fil des années pour obtenir exactement ce qu'elle voulait. « Quand même, j

ur l'écran. J'ai dérivé plus près, ma forme inexistante planant au-d

crèves quelque p

econde. Un petit sourire cruel a touché le coin de ses lèvres. Puis,

recom

mère un instant plus tard était u

e. Ton grand jour est important aussi, et je me sens mal que ma fête tombe l

a mère, enlaçant Camille. « Tu es tro

nt une fraction de seconde vers la porte du sous-sol, un é

e, le corps sur le sol du sous-

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