Mon conte de fées brisé : Sa cruelle trahison
ue de Chlo
e se sent très mal. » Il lui caressa les cheveux alors qu'elle enfouissait son visage dans sa poitrine, ses épaules secouées par ce que je savais ê
t qu'il pouvait acheter mon silence, acheter mon pardon, recouvrir la blessu
en une supernova. Elle a consumé mes larmes, mon chagrin
e a résonné dans le silence stupéfait de la chapelle. Sa tête a basculé sur le côté, une empreinte rouge s'épan
me Julien. Ils me regardaient comme si une deuxième tête m'avait poussé.
meux alors que je pointais un doigt tremblant
ormé en une rage tonitruante.
l rugi à ses gardes du
s hésitantes. Ils travaillaient pour Julien depuis des années.
tremblante de fureur. « Faites-le ! » Il m'a pointée du
n son rauq
? Je préfére
bres, un petit homme chauve,
laît, c'est une maison de Dieu.
physiquement reculé et s'est fondu dans l'ombre. La c
dit Julien, sa voix dangereu
toute la haine de mon âme, il a f
-lui les
ps ont échangé un
ommencé l'un d'eu
à un froid polaire. « Elle est un inconvénient. Faite
s avaient pour moi. Ils m'ont saisi les bras, leurs prises impitoyables. J'ai lutté, mais c'étai
s Julien, vers le visage que j'avais autrefois aimé plus que la vie elle-même, et j
hésité une fraction de seconde, ses yeux me suppliant de juste dire le mo
ma
un autre sig
Dieu s'e
lencieuse. Une agonie comme je n'en avais jamais connue a parcouru ma jambe, b
autre jambe. Un autre craquement, une autre explosion
aient devant mes yeux. À travers le brouillard de la douleur, j'ai vu Julien me tourner le dos. Il a douceme
ose que je l'ai entendu dire avant
avait vu de l'autre bout de la pièce. Il n'avait pas élevé la voix. Il n'avait pas fait de scène. Il s'était simplement approché, avait pris la main de l'homme et lui avait tordu les doigts un par un j
possessif et aimant. Il avait été prêt à briser la
opres jambes soient brisées dans une ch
umait, n'était pas du tout une ligne. C'était une falaise. Et Julien venait de m'en