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Frissons à Sunset Boulevard

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1303    |    Mis à jour : 25/09/2025

rniers vestiges de la nuit laissaient place à la lumière naissante, révélant la splendeur des décors qui semblaient tout droit sortis d'

ui se parait d'un voile chatoyant, « c'est comme si chaque rayon

peau, où chaque moment était un mélange de beauté, d'incertitude et d'espoir. La ville offrait à ceux qui osaient s'y aventurer

nt sans retenue, et l'âme d'Hollywood se révélait dans chaque geste, dans chaque sourire échangé furtivement au détour d'un couloir. La ville, avec sa dualité fascinante

a: « Ici, mes amis, chaque instant est une scène, chaque regard un poème. Hollywood n'est pas seulement un lieu, c'est une émotion, une vibration qui traverse tout notre être. » Ses mots, simples mais puissants,

vibrantes, prêtes à se battre pour transformer leurs rêves en réalité. C'était dans cette atmosphère à la fois fébrile et inspirée q

claviers qui tapaient sans relâche, et les voix s'échanger des plans avec une précision chirurgicale. Un réalisateur, debout face à un mur couvert d'affiches de films à venir, chucho

randeur des décors, la richesse des dialogues et la sincérité des échanges faisaient de cette époque une véritable ode à la passion, un hymne à la beauté fugace de la vi

oque. Et tandis que le soleil montait lentement dans le ciel, dévoilant les secrets d'une ville éternelle, chacun se disait que, dans ce monde de lumières et d'ombres, il était possible de touch

e, arpentait les rues de Los Angeles comme si elle cherchait, à chaque pas, la trace de la gloire qui l'attendait. Depuis son plus jeune âge, elle avait senti que le cinéma n'était pas simplement un métier, mais la clé d'un monde où ses émotions pouvaient se transformer en a

ux vifs témoignaient d'une vie passée à surmonter les obstacles, et pourtant, elle arborait toujours un sourire franc, capable d'illuminer la pièce la plus sombre. Francisca croyait fermement que le cinéma offrait une chance unique

nt les plis de son costume, tandis que Francisca, tout juste arrivée, observait la scène avec une fascination mêlée d'appréhension. La salle vibrait d'une énergie palpable: le mur

ement captivée par l'expression sincère qui se dessinait sur le visage de celle qui venait de parler. « Enchantée, je suis Thérance, » répondit-elle avec un sourire chaleureux qui sembla chasser l'angoisse des premières

un couloir aux murs tapissés d'affiches de films emblématiques, Thérance et Francisca trouvèrent un petit moment pour s'asseoir ensemble, le tumulte de la salle s'estompant

e je monte sur scène, c'est comme si je laissait derrière moi toutes mes peurs, toutes me

doucement, « un miroir dans lequel on peut voir non seulement qui nous sommes, mais aussi qui nous pourrions être. Je re

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