Trop tard pour son pardon
sauver la vie de ma sœur jumelle. Il n'a pas croisé mon regard en
ls ne voulaient pas seulement mon rein. Ils voulaient aussi mon fiancé. Il m'a
ma famille a
elle a sauvé la vie de ton père ! Elle lui a donné une partie d'el
si je ne voulais pas faire partie de la famille, je n'avais plus m
l'opération de transplantation de notre père. Elle avait pris ma place, devenant une héroïne avec une fausse cicatrice, pendan
ils ne savaient certainement pas qu'une maladie rare ravagea
vée plus tard,
Aurore. Ell
encore ? J'ai regardé l'homme qui m'avait autrefois promis l
ai-je dit.
pit
ue d'Auror
m'a demandé de sauver la vie de ma sœur. Puis il
anger. Sa mâchoire était crispée, un muscle tressautait juste sous son oreille. L'épuisement dans ses yeux n'était pas seule
rauque, comme s'il avait avalé du gravier. « Ses
s un vacarme que je ne pouvais plus ignorer. Ma sœur jumelle, Annabelle, la poupée de porcel
u'elle avait besoin d'un
fixé sur les papiers. Les mots en haut de la page
r une douleur si profonde qu'elle semblait presque
isée en désespoir. Il a hésité, sa main flottant dans l'air entre no
ontinué, sa voix baissant encore d'un ton. « Elle se sent
de ma gorge était sec et creux. Annabelle
résolu, comme un homme prenant une décision difficile mais nécessaire. Mais je voyais les fissure
risée. Pas la demande pour mon organe, ni même les papiers d'annulation. C'était le mensonge. Le mensong
s yeux me suppliant. « Après que tout ça sera fini
. Une promesse d'un homme qui me demandait d
une constitution qui ne supportait pas le stress. Elle était la fleur délicate qui avait besoin de soins constants, t
erminale. Les mots sonnaient cliniques, distants, mais leu
un dernier vœu avant de
ots sortant dans un flot de honte. « C'est... son de
femme de
noble, un dernier acte de pitié pour une fille mourante. « C'est ju
s, le geste frénétique. Il était écartelé, et dans son désespoir, il
, tapé proprement à côté d'une ligne vide. Son nom, Abel
et mon avenir. Tout en une seule transaction nette. Et
je pouvais la goûter, amère