Yes Sir...LOGAN
pour Eadlyne, la seule famille qui lui restait, elle devait jouer le rôle de mère et grande sœur mais tout ça n'était pas évident. Jusq
le voulait leur confier sa sœur mais sans emploi, on lui avait laissé six mois pour se trouver un emploi qui l'aiderait à s'occuper de sa sœur, à cette époque, Eadlyne avait 10 ans. Elles avaient déjà la maison, le seul bien que possédait leur père, l'argent qu'il avait durement travaillé a été utilisé pour rembourser ses nombreuses dettes, Harley n'avait pas le choix, elle devait travailler
ment ce n'était que ça. Elle ramassa le premier vêtement sous ses yeux et l'enfila, elle plaqua ses cheveux en queue de cheval, elle sortit de sa chambre et avait prévu partir en douce pour que Harley ne sorte pas de sa chambre et qu'elle ait besoin de faire comme si tout all
r se faire un bol de céréales sinon, sa
it Harley avec u
Lui demanda Eadlyne en sachant
ire. Répondit-elle ensuite en se
e sur ses lèvres. Il n'y a jamais eu de "ON" Harley. Dit-elle e
la tempe, s'arrêta, croyant av
nda-t-elle po
Lui dit Eadlyne avec un t
emanda-t-elle en continuant de masser s
pulent, il avait le visage fermé, habillé en costume noir et ressemblait à un porteur de mauvaises nouvelles. Harley resta coi attendant qu'il dise enfin l'objet de sa
ien chez le
Puis-j
son ? Demanda l'homme sans se gên
le même ton pour lui montrer qu'il n
cet instant, un mois pour vous trouver un nouveau logem
c un air écœuré. Cette maison m'appartient qui êtes-v
place St. James. Vous et vos voisins êtes donc invités à débarrasser le plancher dans u
ses cuisses à elle en se demandant pourquoi elle ne pouvait pas avoir de paix. Elle sorti
i appartenait mais la place St. James était à l'état et maintenant ça venait d'être acheté par un individu égoïste et cruel assoiffé d'argent. Son avocat
n postulant chez Nigel&co, il fallait qu'elle essaye partout. Elle consulta encore sa boîte mail mais rien. Pourquoi le sort s'acharnait-il sur elle ? Puis, elle pensa à Eadlyne, jusqu'ici elle
s gens ? Pourquoi ne pouvait-elle pas leur tenir tête ? Elle arpenta le couloir en e
froussarde. Cette phrase provo
e de classe et aussi d'avoir osé longuement regarder son petit ami Sevhen. Qui n'aimait pas Sevhen ? Beau,
Ally ? Ça remonte à trois ans déjà. Tenta-
miner. Bonne journée, ringarde orpheline. Ajouta Ally avant de verser les affaires d'E
il fallait qu'elle soit forte, elle ne pouvait pas en parler à Harley, elle avait déjà assez