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Mon mari, mon héros, mon monstre

Chapitre 3 

Nombre de mots : 1312    |    Mis à jour : 17/09/2025

t arraché d

désespoir absolu. Les larmes coulaient sur mon visage, mais je riais. Je riais du monstre q

dé, ma voix un murmure déchiqu

l n'avait pas besoin de répondre. Je l'ai vu sur so

ine, la volonté de résister – tout s'

engourdie et détachée. « Je le

tié. J'ai marché, titubant comme une ivrogne, vers la cuisine. Je ne sentais rien

e dans le salon. Céleste était maintenant assise sur un fauteuil en velours moelleux, l'air d'une rei

Céleste, sa voix dégou

ssine au visage, de courir, de me battre. Mais l'image de la tombe

suis agenouillée sur le sol en marbre froid. L'humiliati

aitement manucurés. Je les ai plongés dans l'eau tiède. Mes larmes tombaient silencieusement

çais à frotter doucement, Cé

'eau et les éclats de porcelaine se sont dispersés partout.

Tu ne peux même pas accomplir une tâche simple ! L'eau est tro

. C'était juste une autre

nant vers lui avec une moue. « Quelque chose pour lui rappeler sa pl

ête, ses yeux fixés sur moi ave

de discipline. » Il s'est tourné vers les gardes. « Emmenez-la dehors. Elle s'agenouillera dans l

le milieu de l'automne. L

e murmuré, les mots coincés dans

is avant de contrarier Céleste à nouveau », a-t-

regardé, l'homme que j'avais autrefois aimé de tout mon cœur, et je n'ai rien v

taient cette haine. Je l'ai vu

uses », a-t-il dit, sa voix basse et menaçante, « je

ère dans mes yeux s'est éteinte, n

cour était pavée de pierres, déjà glissantes de la rosée du soir. Ils m'ont forcée à m'agen

étoiles. Une fine pluie brumeuse a co

commencé à psalmodier, ma

ne. Je suis ici

ais forcée de faire pendant que mon esprit se retirait dans un e

st installé profondément dans mes os, une douleur sourde et engourdissante. Mes genoux étaient à vif et saignaient

ne. Je suis ici

glaciale et aux mots humiliants. Mon corps frissonnait de manière incontrôlable. Mes dents claquaient

oir. J'ai basculé en avant, mon visage heurtant l

au bruit métallique d

en béton froid dans un petit espace sombre. L'air sentait l'humidité

dans u

maison. Une fine couverture avait été jetée avec moi. Mon corps me faisait mal d

vait toujours été gentille avec moi, est apparue aux bar

oiselle Dubois a dit... elle a dit que vous aviez de la fièvre et

e. Comme un a

hes à travers les barreaux. « Je suis tellement désolée », a-t-elle m

on corps frissonnant. J'ai regardé les pilules et l'eau. Il serait si facile de s

pensé à sa dignité, à sa force tranquill

ules. Je les ai avalées avec l'eau froide,

t laissé l'obscurité m'emporter à nouveau, un rire silencieu

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