L'héritière du trône de la mafia

e importance. J'étais convaincue que je pourrais toujours me défendre s'il osait tenter quoi que ce soit. Alors, j'avais accepté de m'installer chez lui sans hésitatio

s nous suivraient dans une voiture différente. D'ailleurs, Patt avait déjà fouillé un peu le passé de mon mari, après qu'Enzo lui avait montré une photo d'Alex. Durant le trajet qui nous conduisait au

maison ? » demanda Ale

Inutile d'en rajouter : je savais qu'il connaissa

tu veux changer quoi que c

ment que j'ai un toit, tout va bie

er cette robe qui commençait à me gratter. Il fr

i t'accompagnaient

nquêté sur moi ? » d

er. Je n'ai pas encore eu

caractère n'est peut-être pas celui que j'espérais, mais a

ar là ? » fit-il en

se trouve que je suis tombée sur un mill

dans tout ça ? » demanda-t-

la communication serait facile. Un

mbes mal. Je suis

« Oui, je m'en re

ant, tu m'

iche. C'est la seul

nt de demander : « Pourqu

comme si de rien n'était, reporta son attention sur son téléphone qui vibrait. «

ent dans la chambre. Quand il revint, il portait un short et un sweat à manches longue

avant de repartir. Je m'avançai pour récupérer mes bagag

nage est fait tous les deux jours », précisa-t-il. Il

m'en occupe

éposa mes affaires intactes

emandai-je, ironique. « Je n'ai pas l

me. Tu as accès à tout ici. Mais j

es, silencieuse. Fidèle à sa parole,

e robe demain pour l

» Il posa une main

ccompagneront. Tu peux te c

ur la f

ux pas encore prévenir L

te et ne fit p

nzo. Ils m'attendaient encore sur le parking. J'attrapai m

resses importantes du pays et voulait me les faire découvrir. Tandis q

vée ici ? » demanda

ur, puis jetai un regard à sa ma

rétorquai-je en arquant un sourcil. J'avais

u acheter une robe dans un l

ur que, si je dévoilais ma source, ta fi

rler à ta mère ainsi

morte, et elle ne ressemble en rien à cette

fille campagnarde

s être traitée de paysanne que vo

une ! » s'écrièren

mander directement ? » dis-je en me tour

qua Lorenzo. Puis il se tourna vers la vendeuse qui nous observait. « Pourquo

lle choisissait une robe.

Donne cette robe à ma fille

e la cabine. Mais je ne comptais pas leur céder la partie. Je me dirigeai ver

tenir son émerveillement. «

sa un sourire discret. Lorenzo et Daisy, persuadés de m

Le prix les stupéfia. J'étouffai un rir

osa sur le comptoir. « Donnez-lui tout ce qu'elle désire », dit

ire. « Pas nécessaire.

la carte. Nous sortîm

ppelez-moi. Je paierai la différence avec plaisir. » Mon regard croisa celui de Lorenzo, défi silen