Le fils secret de mon Alpha, mon rejet ultime
nc, destinée à devenir la Luna de notre meute. Mon âme sœu
inq ans : une autre famille, avec un fils dont
leur enfant ce parc d'attractions que j'avais moi-même supplié d'avoir. Mes propres parents ét
jour de mon anniversaire pour que je
étais juste un pion avec le bon sang, un outil à utili
e thé empoisonné que ma mère m'a donné, j'ai s
son spéciale pour la fête de leur fils : u
pit
E VUE D
ert de to
sa poitrine. Elle écarta une mèche de cheveux roux flamboyants de son
rain neutre, l'un des rares endroits qui accueillait les loups-garous sans nous donner l'impression d'être des ani
e je ne l'aurais voulu. J'enroulai mes mains autour d
ecrets de la meute. Une accusation qui aurait pu te valoir l'exil, ou pire. Et qu'est-ce qui lui arr
âme qui ne s'était jamais vraiment estompée. « Mes parents... l'Alpha Kael...
propre lignée. Ils m'avaient dit que j'étais leur fille perdue, l'héritière de la lignée sacrée du Loup Blanc. Et Kael... il était mon âme sœur. L'Alpha de notre meute. L'autre moitié de m
e la louve la plus
Bruna », dis-je pour changer de sujet, une lueur d'espoir
res. « Je sais. J'ai hâte de voir t
discrètes nous entendent. À la place, j'utilisai la connexion spéciale que partagent tous les mem
les mots se formant dans son esprit comme s'ils étaient ses propres pe
t empreinte de scepticisme. *
mon esprit. Elle était profonde, puissante, et cha
li
un bond. Il p
Une chaleur se répandit en moi, simple
une réunion importante de la meute. Rest
ait pas une demande. C'était un ordre tissé de magie, qui forçait l'obéissance. Mes épaules s'a
épondis-je, essayant
serra la mienne. « Ne le laisse pas faire ça. Va le voir. Apporte-lui son café préfé
vait raison. J'étais son âme sœur, s
un plateau en carton avec deux cafés à la main. Le bâtiment était la façade humaine de notre
is ferme. « Je suis désolée, Mademoiselle Donovan. L'Alpha Dubois n'est pas là. Il avait un
stomac. Une galerie privée ? Ça ne res
. La galerie était un bâtiment élégant et moderne avec d'immenses baies vitrées. Je m
je les
ait Séraphine, ses cheveux sombres brillant sous les lumières de la galerie. Entre eux, leur tenant la main à tous les deux,
blaient à
t entier devint glacial. Ce devait
esse que je n'avais pas vue depuis des années. Il l'embrassa. Pas un simple baiser. C'était un baiser p
si mon essence même était en train d'être scindée en deux. Le li
de savoir. Je me glissai plus près de la fenêtre, me cachant dans l
e Léo ? » disait Séraphine, sa voix dégoulinan
de Léo. Le parc
t Kael en ébouriffant les cheve
iversaire de Léo était l
ristallin. « Et ta petite orphel
entendu. « Élina ? Elle est tellement reconnaissante d'a
dans mon esprit, une intrusion désinvo
rminer. Je suis épuisé. Je
n'a pas brisé mon cœur. Il l'a pulvérisé en un million de morceaux, e
inée. Et j'en avais