Comment pourrais-je ne pas te désirer ?
t que j'étais dans une maison qui n'était pas la mienne et, par conséquent, obligée de m'adapter à ses habitudes. Mon premier
sonna depuis le salon, grave et f
ton était direct, implacable, un mélange d'autorité et d'avertissement. Je
araître détendue, bien que je sache qu'
comme s'il évaluait mon respect des règles de la maison. Chacun de ses gestes sembla
r est à 7h pile. Pas plus tard, pas plus tôt. Pe
de trouver tout cela absurde. Mais je savais que tout geste de mépris serait enregistré et critiqué. Une p
test de mon obéissance. J'essayai de me concentrer sur ma tasse de café, sur le pain grillé, sur n'importe quoi sauf lui. Mais je ne pus pas. Chacun de ses mouvements était impo
aujourd'hui ? - demanda-
ondis-je, essayant de gard
xige discipline. Ordre. Respect - son regard se planta dans le mien comme un éclair, e
ler chaque aspect de ma vie ? J'essayai d'avaler ma colère, mais c'était impossible. Chaque
es ? - laissai-je échapper, incapable de me retenir -. Je ne suis pa
quelle réprimande verbale. Chaque seconde sous son regard était un défi silencieux. Je ressentais un mélange
line - dit-il enfin, sa voix plus basse, presque u
ité, sur mes livres, sur mes vêtements, mais c'était inutile. Chaque pensée me ramenait à lui, à son regard, à la tension entre nous. J'étais prise
upe d'étudiants, un sifflet autour du cou, posture parfaite, allure imposante. Sa présence était indéniable : non seulement il était l'
ttirance, irritation, curiosité. Chaque fibre de mon corps semblait consciente q
dait tout autour de lui rigide et ordonné -. J'espère que
illa. Je ne pouvais, ni ne voulais, me laisser dominer. J
a une limite - ma voix paraissait plus ferme
on défi. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres, à peine perceptib
urner vers les autres -. Maintenant, tout le
. Son contrôle était partout : à la maison, à l'université, dans chaque regard, da
ait, m'évaluait, me défiait. Aucun mot entre nous, mais la tension était palpable. Le feu que j'avais ressenti à la
rçait sur moi. Parce que même si cela me terrifiait, même si cela me rendait vulnérable, il y avait en lui quelque chose qui m'attirai
ncore présente dans mes veines. Je n'avais pas pu me reposer un instant de
je ne me laisserai pas dominer. Ni par lui, ni par personne. Et en même tem
is entre ses mains, et le défi ave