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Prisonnière du mensonge, Reine de sa ruines

Chapitre 4 La confrontation

Nombre de mots : 1216    |    Mis à jour : 05/09/2025

ire, ma voix rauque et sèche. C'était vrai. La nuit

les idées et je me suis perdue », ai-je menti, é

tellement fait peur. » Il m'a serrée dans ses bras, son étreinte étroite et

ère poule. Il m'a préparé un bain chaud et m'a donné des vêtements

ppartement. Il a cuisiné ma soupe préférée, celle qu'il préparait toujours quand j'étai

c aisance, parfaitement à l'aise dans cette cuisine sordide, jouant l

, a-t-il dit en pous

tête. « Je n'

ais une injonction la traversait. « Je vais t'emmen

r nulle part », ai-je

r avant de m'entraîner dehors. Sa prise sur mon bras était com

c des verres en cristal et des serveurs en costume-cravate. Le genre d'en

r nous », a-t-il dit en me guidant vers u

ville illuminée. Une seule table était dressée pour deux, o

l dit, un sourire de fausse générosité a

'ai pas faim », ai-je

e contrariée par hier soir ? Je t'ai

bien », ai-je menti,

ce tu as ? Tu as froid ? » Il a retiré sa veste pour la poser sur mes

mise en scène. Une belle,

uce. « Je vais chercher un médicament à la p

ée sur le fron

ndrée sur le canapé moelleux, le cor

'est élevée près de la p

r, madame ! C'est réservé

», a claqué une

fait irruption, le visage déformé par la fureur. Elle

ux d'abord écarquillés de surprise av

n s'avançant d'un pas décidé, ses talons claquant agressivement sur le marbre. « Gav

cher de parler. Je l'ai fixée, cette fem

à lui, pas vrai ? Pathétique. » Elle s'est approchée, me regardant avec mépris. « Que ce so

amers sur ma langue. C'était un mensonge construit sur un

s'est contracté.

mmes mariés », ai-je répé

n scène romantique. Un instant, un doute a tra

rte. Elle est décédée dans un accident de voiture il y a des ann

que risible. Elle croyait que je prétendais

s gardes du corps.

ordre sec, ils se sont avancés et m'ont

s faites ? », ai-je

Gavin, croisant élégamment les jambes. Elle

elle froidement déclaré. « Frappez-la. Et quand vous aurez fini, bri

e crié, la panique montan

isé. Les lois sont faites pour les gens modestes. Ma

taches noires ont dansé devant mes yeux. Ils m'ont encore frappée. Une douleur fulgurante

Heidi d'une voix claire. « Mets-toi à genoux et l

ai-je craché d'

rage. « Brisez-lui les m

e à un étau. Il a commencé à le tordre en arrière. J'ai

! », a crié un serv

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