Fuir son obsession, trouver l'amour
e vie : mon fiancé, Elliott, m'observait me noyer sans ciller, son esprit empoisonn
Elliott, de retour plus tôt que prévu. Et à son bras, se trouvait Katarina. Il a parlé d'un « petit i
irs inestimables de mes parents soient jetés à la poubelle. Quand j'ai osé protester, il m'a plaquée contre le mur. Quand K
était une victime, lui aussi. Mais cette fois, il se souvenait de tout : notre enfance, notre amour, nos
Ses gardes m'ont traînée dans une pièce insonorisée au sous-sol et m'ont attachée à une chaise. Quand l'électricité a traversé mon corp
pit
venais, c'était l'eau glacée qui
s pas, était la dernière image gravée dans mon esprit. Katarina
llée en sursaut, trem
hambre, ma chambre. Celle que je
is vi
avant le calvaire, avant que je n'aband
s jambes ont faibli. Cette fois, je ne referais
perdu la mémoire, et Katarina, la secouriste qui l'avait « sauvé », en avait profité pour s'accaparer
rais avant son départ. Je vendrais l'entreprise de
jamais Elliott Hickma
on téléphone et j'ai composé le nu
ès qu'elle a décroché. «
sonnette a de nouveau retenti. Un son ai
sé être là. Il était su
a parcouru l'échine. Q
jestueux, la main crispée sur la rampe en
sur mesure, les cheveux noirs impeccables. Mais son regard, lui
se trouvait K
angélique parfaitement maîtrisé. Un masq
e cela devait se passer. Il n'avait pas encore eu
tt d'une voix lisse, sans chale
lui. Il n'avait pas d'amnésie. Il se so
il l'avait
serrant son étreinte autour d'elle. « Elle m'a sauvé la vie.
vait bien eu l'accident. Ma
yeux sur moi. Il n'y avait aucune tendresse dans ce regard. Rien qu'un froid pos
sourire victorieux, mi
t de commencer. Et cette fois, mo
douleur fantôme, le souvenir de ses mains, non plus caressantes,
ue j'étais une croqueuse de diamants, une manipulatrice. Il l'avait crue.
l avait laissé Katarina faire de moi ce qu'elle voulait. Elle avait détruit les trésors que
'à ce qu'il ne reste plus rien. Jusqu'à ce qu
intact, à ce regard lucide, une
otre amour. Il se so
e la ramener ici. Il choisissait
née d'un oubli. C'était une
fendu mes pensées affolées. « T
visage glacial, puis vers ce
piégée.
murmuré d'une voix
ns que ses yeux ne s'adoucissent.
Préparez la chambre d'amis juste à côté
C'était le sanctuaire de mes parents, où je
ires immédiatement », a-t-
présent ne faisant plus qu'un. Mon pl
dans ma maison, et cette fois, i
ie avait été
quait bien d'être
fuir. Mais
frable dans les yeux. Il semblait é
rina est fragile. Je veux que tu la traites avec le
é la tête, incapable
l'étage, sa main posée d
l, les échos de leurs pas résonn
mon amour d'enfance. Il m'apportait le petit-déjeuner au lit, m'emmenait voir de vieux bâtiments rares, me serrai
t-là avait
ces marches était un
s sa pris