Épouse du Mafieux par Contrat
de vue
homme au t-shirt noir assis à côté, ses yeux rivés sur moi avec une inquiétude mal dissimulée. Je ne comprends toujours pas pourquoi j'ai accepté
gnorais, jusqu'au jour où il est allé trop loin. Je dormais, j'ai ouvert les yeux en sentant son poids me clouer au sol, son sourire mauvais, son pantalon déjà baissé. J'ai cru que c'était la fin. La seule chose qui m'a sauvée, c'est ce coup de
me. Un seul chiffre de travers et le message est parti a
ande une voix grave, cha
e dans mon peignoir de l'hôtel. Je croyais que mes crises d'angoisse appartenaient au passé, mais les pleurs incontrôlables d'il y a
un homme en no
tailler. Grand, large d'épaules, tatouage noir qui grimpe le long de son bras nu. Puis deux autres
de descendre. Ma gorge se serre. Je cherche une excuse, un prét
vec curiosité. J'ai renvoyé mes homme
éfléchir. Je... merci d'être venu. Désolée
en posant doucement s
u tranchant, un visage aux traits nets. Je m'insulte intérieurement pour y p
personne ne t'approcher
de et me rassure en même temps. Je ne peux pas retourner à l'h
de me soulever comme
ut à l'heure, j'étais brisée. Là, c'est différent. Trop intime. Ch
x accrochés aux murs, escalier monumental. On dirait un palais. Vit-il seul ici
usse une porte d'un coup de pied : grande chambre, lit immense, canapés, arm
chambre est juste à côté, appelle-mo
ur tout. À vrai dire... le m
gué. Je reprends, l
ais qu'il vienne... mais j'ai tapé u
e moi sur le canapé, t
ait celui à appeler dans
. Il ne l'était pa
cœur... je me suis trom
ux un moment. Pui
t-il passé
l'histoire inventée des premi
essée. Il a fa
nais ? Comm
coule ma
emi-frère. Il a es
mpassible, comme s
s une
. - Mon téléphone
era mieux. Les femmes de chambre t'apporteront un repas et des vête
ève pou
... je ne connai
tourne.
is-je do
il sans détour. Be
rquoi il connaît mon prénom, même si je redoute de dormir s
il avant de sort
e vue d
ussitôt. Sa voix affolée me crispe. Autour de la table, Do
lle ! » je g
ortable, je peux la t
» Je crache les mots, détou
uitté la villa dès l'aube pour régler tout ça. C'est la dernière réunion, elle ne devait pas durer plus d'une heure. La
age. J'arrive. » Je raccroche e
ous unit : la Mafia. Respect, loyauté et entraide sont
va bi
ien de grave. Faut juste q
me portable, me lève
tu n'as pas be
un sourir
z moi ? Officiellement, je devais l'aider comme elle l'avait demandé. Mais dès que j'ai compris qui se cachait derrière son problème, mon rôle d'assistant a disparu : je veu
iture. Dès qu'il me voit, il ouvre la portière. Je m
justice Salvato
ils. Que diable fai
'est impossible. Nous n'avons pas eu le temps de parler depuis hier, et j'espérais le faire après la réunion. J'ai
ue, histoire de suivre chacun de ses pas. Je ne sais même pas d'où elle vient, mais une chose est certaine : elle n'est pas d'i
Elle est mystérieuse. Pas timide, mais j'ai vu la peur dans ses yeux hier, même après l'avoir rame
ci ? Normalement, les gens viennent pour se marier ou récupérer des documents officiels. Je détache ma ceinture, descends et m'
plante devant e