La Revanche d'une Femme Libre
sisté pour que sa compagne enceinte, Lyse
de ma maison et de mon mari. Il lui massait les pieds, la bordait
brisé le collier de diamants de ma
joue. Il m'a frappée. Pour elle. Il m'a poussée si v
n une haine glaciale. J'ai compris que notre mariage n'était
, et j'ai sorti mon téléphone. J'ai a
es hommes les plus costauds. Et des m
pit
et la voix de Fabrice,
mort. Acciden
on frère aîné. Un homme ple
ouvelle encore plus choquante. Lyse Chauv
lâché la bombe dans notre appar
nt s'insta
de thé. Le silenc
c'est notre maison. On peut lui trouver un app
ant. Un regard que je connaissais
de mon frère. Elle porte son enfant. Je
es. Une petite femme aux grands yeux tristes, le v
nt la porte de notre salle de bain, une simple serviet
« Je me sens si seule dans cette grande cham
e, lui a tapoté l'ép
pas, Lyse. Tu es
les poings
que nous regardions un film dans
me les massait toujours avant de do
larmoyants. Mon mari, pris au piège de sa prom
é à lui mass
un mot et je suis al
ujours une nouvelle plainte. Un cauchemar qui la réveillait,
l la consolait, lui préparait des
, j'étais dev
int un point de non-retour.
e te demander ça... mais la chaleur de tes
mains sur son ventre, juste au-dessus de la couverture
. Une humili
ssante. Je suis sortie sur le balcon, l'air glacial de
é le numéro
puissante, s'est remplie d'inqu
hérie, que se
je veux
, à quel point j'avais tout accepté pour ce mariage, qui était plus une allia
fait du
te. Et il ne voit qu'elle. Il la touche... il s'oc
rtie de la douche, les consolations nocturnes. Chaque mot étai
mon père
x... Et cette fille,
C'est ma maison. Il m'ignor
uiète pas. Papa va s'occuper de tout. Tu ne pe
t. Une décision était prise. F
toujours assis près de Lyse, qui s'était endo
plus avec de la peine, m
vers la cuisine, mais en passant devant ma porte entrouverte, elle s'est arrêt
ait une
orte. Ça me donne la nausée,
retournée
mbre, Lyse. Et
as les odeurs fortes non plus. T
urire qui n'attei
l ne s'en est jamais plaint
ntenancée, ses l
si agressive ? Je sui
que Fabrice est so
nsible en ce moment. Ne l'e
rdé droit da
e. Elle n'a aucun droit de me dire ce qu
atement comme
. C'est juste que chez moi, à la campagne, on est plus sim
de la fille modeste et dép
a conclu Fabrice, le regard dur. «
ilier, élevée pour diriger, pour comprendre le
n rire sec
mprends pas. Je ne comprends pas
de ma chambre au nez
. La guerre é