La farce qui brisa l'amour
telle force qu'elle a claqué contre le mur. Maxence a
tu lui as dit
uille de la perfusion du dos de ma main. Une douleur aiguë a
s, Maxence ? ai-je crié, pl
ras. Elle s'est ouvert les veines. Elle est en état de choc, elle a
rit s'e
que ça a à v
. Elle m'a dit ce que tu lui as balancé. C'est toi qui l'as poussée à faire ça ! Tu do
sée sans voix. Il me blâmait pour le
t de fureur. Je suis une patiente ici. Je viens d'a
happer un rire
nquiète quand tu menaçais une fille fragile et innocente, n'est-ce
nant de lui, l'homme qui avait systématiquement détruit mon monde quelques heures auparavan
andi, en l'homme que je pensais connaître, s'est effo
-il dit, sa voix tombant
de réponse. Il m'
lors qu'il me traînait, pieds nus et prise de vertiges, hors de la chamb
, fouettant mes cheveux autour de mon visage. L'hélico a décollé avec une secousse violente, et les lumières de la vil
C'était une clinique privée, plus petite. Il m'a jetée sur une chaise dans une salle de
a, leur a or
i de mon coude m'a ramenée à la ré
i-je hurlé, en essayant de retirer
age terrifié puis celui, furieux, de Maxence. E
appel. La banque du sang a envoyé suffisamment de poches pour
ue sous les néons. Pendant une fraction de seconde, son front s'est plissé. J'ai vu une lueur de quelque chose dans ses
aible et léger est ven
xenc
la voix
a disparu. Elle a été remplacée par cette résolution froide
rmière, sa voix dén
prise de san