Trahison la nuit de noces : Un cœur qui s'éteint
ntre Camille alors qu'elle marchait dans le couloir vide. Elle sentit une poursui
percuta un homme corpule
ez ! » balbutia-t-il e
le en essayant de se dégager.
visage. « Le pressing ? Vous croyez que ça suffit ? Mettez-vous à gen
sèrent. « Non. Dites-moi ju
dis. » Il commença à la traîner vers les portes de la
voix basse et dangereuse. «
femme est là-dedans en ce moment, en train de dan
rda à l'intérieur. Et là, au centre de la piste de danse, se
lui qui était destiné à Camille. Ils formaient un couple éblouissant, parfaitement assorti. Ils se déplaçaient ensemble avec grâce, leurs
crier, d'exiger une explication, mourut. À quo
ouchoir de la poche de poitrine de l'homme et essuya soign
alayèrent la foule, puis il la vit. Il la
ravers la foule et, sans un mot, frappa l'homme ivre en
essus de lui. Il releva ensuite Camille et, ignorant l
re elle. « Pourquoi ne m'as-tu pas appelé
s lèvres. « Je ne voulais pas interrompre
de dernière minute pour la
ne veux plus entendre tes excuses. » Elle le regarda dans les
é leur photo de mariage. Il avait supposé qu'elle le quittait. Dans un accès de col
, dit-elle, sa voix
ur était
douloureusement serrée. « Ne joue
vait plu
ouvrir au rez-de-chaussée quand son téléphone sonna
! C'est Jade ! Ell
apa Camille et courut, non pas vers le ba
couteau à la gorge de Jade. C'
« Vous m'avez humilié ! Main
le n'a rien à voir avec ça. » Il essayait de paraître calme
Tout le monde sait qu'elle est la personn
ide-moi ! »
. L'homme pressa le couteau plus fort c
? » demanda Cédr
e », dit-il en pointant le couteau vers Camille. « Envoyez votre
r la sienne. Il la regarda, les yeux suppliants.
ssant non pas au ravisseur, mais à Camille, ou peut-être à l'
soir-là, il se mit à genoux. Pa
Jade, qui courut immédiate
s'enroula autour de son cou, et une lame tranchante se pre
'ouvrit en grand, et des po
it lever le couteau. Sa dernière vision fut celle de
de Cédric, claire et déci
ire