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Et si, je...

Et si, je...

Auteur: promotion
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Chapitre 1 No.1

Nombre de mots : 1878    |    Mis à jour : 22/11/2021

ticulièrement

gé à finaliser ce

éf

t justifié. Pendant très longtemps, j'ai pensé que la meilleure des choses était d'être altruis

passer les désirs ou besoins de l'autre pour attendre, inconsciemment, un retour ? Ou encore, l'on met l'autre devant soi parce que c'est réellement ce que l'o

ne forme d'altruisme, qui est modéré lorsque l'on s'inclut dedans. C'est-à-

ourries et développées selon ma compréhension. J'écris car peut-être que d'autr

ment, presque contents, voire satisfaits, de no

pit

l et des

bre

commencer ? Je pourrais faire un monologue jusqu'à la fin de ces quelques pages à décrire quelque chose de vague, juste pour remplir le blanc du papier. Mais je vais m'arrêter là et commencer par il était une fois, moi. Une personne différente des autres ou plutôt comme

t faites. J'entends bien que tout le monde s'est déjà retrouvé seul face aux autres, sans aucune aide. Mais justement, c'est grâce à cela que l'on en ressort que plus requinqué qu'auparavant. Imaginons que le schéma inverse se serait effectué, un chemin sans embûches, ni rien, qu'en serait-il du résultat actuel ? Nous ne sommes pas en mesure de répondre à cela, c

années

onneur à toujours être aimant et présent pour nous. Ma mère une femme de qualité aussi qui favorise la communication et l'amour inconditionnel. Mes

ait beau, le soleil me faisait des chatouilles sur mes bras et mes petites jambes. J'avais un short qui descendait légèrement plus bas que les genoux et un haut à manches courtes. Je me sentais bien. J'avais fière allure. En me préparant, j'étais heureuse jusqu'à ce que ma mère m'ôtât les lunettes et plaçât ce fichu pansement sur mon œil droit, comme tous les matins depuis un certain temps maintenant. « Il faut que ton œil gauche travaille, ma chérie », me disait-elle de sa voix si mélodieuse. Je n'aimais pas ce pansement. Il

ourir et manger s'en dilater le ventre n'avait rien de si excitant. J'avais peur, peur de la foule, du fait que ce ne serait pas un jour comme les autres. Je tenais toujours fermement la main de mère. Elle baissa la tête de temps en temps comme pour

rs aussi méfiante. Les autres sont, pour moi, une énigme sans réponses. Est-ce que c'est no

eut-être qu'elle était vexée que je ne lui expose pas ma vie. Mais c'était ma vie, elle avait plein de soucis et je pensais que lui déballer les miens ne l'arrangerait pas davantage. Je pensais qu'elle n'était pas en mesure de m'entendre et me conseiller. J'ai conclu hâtivement car je ne voulais pas déranger, je voulais tout simplement garder tout pour moi. Et sincèrement, je suis toujours convaincue que les personnes ont besoin d'une oreille attentive et une épaule solide sur laquelle s'appuyer. Je voulais être cela. Aujourd'hui, en suivant les conseils que j'ai pu avoir c'est ce qui me pousse sans doute à écrire, je pense

mbre

un autre. J'ai l'impression que nous passons plus de la moitié de notre vie sur les bancs de l'école, à passer dans un entre-deux, parmi les différents stades scolaires. Nous commençons par la crèche (établissement qui accueille enfants de deux moi

scolaires. Légèrement habile de la main droite, j'ai voulu emprunter le chemin d'artiste peintre ou de photographe pour attraper la nature et voyager à travers le monde. Dessiner ou photographier ce que je pouvais voir selon ma vision. Capturer un instant. Pro

fois que je regarde à la fenêtre, je mets à dessiner, je m'imagine partir à l'aventure munie d'un sac à dos et d'un appareil photo à me remplir la tête d'images toutes aussi splendides les unes que les autres. J'avais postulé dans une école pour peaufiner cet apprentissage, j'ai été admise mais comme l'école se trouvai

tient à ceux q

Corps

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