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L'Opale fêlée

Chapitre 5 Noa Rivera

Nombre de mots : 1626    |    Mis à jour : 10/08/2025

arantaine sèche, sortit avec un parapluie noir. Il marcha droit vers la porte

lame. Frédéric Blanc, mandataire. J'ai pour

e de garde du corps en baskets. - Nous ne s

t un sourire

contrepartie financière, assistance discrète. Fin des polé

l tendit une enveloppe épaisse. Nora se sentit vaciller, juste u

pira par

, répondit-elle, ton plat, net. Et j

demain, même heure. Ah, un détail : la propositio

Maya avec un sourire qu

epartit sans bruit. Les néons du trottoir miren

lles, spatule à la main, air

nsaction. Je prépa

ut des verrous,

ppelèrent Calvino en haut-parleur. L

il vient de perdre la partie amiable. Demain matin, je notifie le conseil Delcourt de

mme ? dem

au. Qu'il revienne. On le fera

l'ouvrir. Ne pas donner au papier le pouvoir de dic

Maya s'endormit en chien de garde sur le canapé, une main sur son téléphone. Nora d

agerie, une nou

e consultante externe pour cartographier les risques de réputation dans la chaîne d'approvisionnement. Mission

ut, cheveux en

ré. Project management, communication de crise, deux prix d'école, tr

mail, dit Nora

roposa Maya. Neutre. Ça

ra détesta le sucre. Elle mit une tranche de citron dans l'eau, sourit

d : « 11 h, bâtiment B, badge invité. Bienvenue. » C'était

lanche, jean brut, blazer doux. Chaussures plates mais stylées. Cheveux détachés, lèvr

s coach de vie, en

la tante, piquant une épin

dans une copie scellée, téléphone sur mode discret. Pas de bijoux. Sauf un pendentif discret, une opal

ile. Dans le hall, tout était blanc, chrome et plantes tropicales. Nora donna son nom - Noa Rivera - et reçut un badge pla

de photos de coques lisses, d'écrans avec des cartes marines. Inés Du

rci d'avoir répondu s

oute en verre dépoli. Inés

ort bouge. On veut comprendre nos vulnérabilités : fournisseurs bavards, employés trop connectés, leaks sur des contrats, t

udio. Ne signe rien sans 24 h. Mais ceci ét

t-elle. Je le renvoie cet apr

'aime les gens qui lisent ce qu'ils signent. C'est

. Humour discret. Ça dé

officieux. Et il y a un point délicat : Delcourt nous a demandé d'ouvrir une war room conjoi

compr

ur stratégie de Delcourt. Puis vous aurez accès à notre in

as Adrian, mais sa garde rapprochée. Tu observes. Tu notes. Tu ne parles à

lé en ONG à Puerto Naranja. Le terrain, ça aide pour sentir l

, répondit Nora. Et j'ai appris à respire

. On resp

graphie bruits / acteurs / motivations ». Elle gratta déjà des noms : presse people, forums de marins, ex-fournisseurs Delcourt, et... Lina (à entourer), Victor Delcourt (l'oncle, ombre portée, d'

Inés pass

en war room. C'e

eux à lunettes (badge Olivier - Com' Delcourt), une femme au carré lisse (badge Jeanne - Juridique). Polite

nés. Petit retard, board call. On commence sans

humaines, prévoir les narratives probables, créer un kit de réponses internes. Pas de grands mots, des pas concr

te s'o

uit d'élastique qu

r d'un demi-mètre autour de lui. Il salua d'un signe bref Olivier, Jeanne, puis tourna la tête vers Nora.

, dit-il, voix égale. N

n geste ve

nsultante externe. Noa, Adrian

lle se rappela : Respire quand ils oublient de le faire. Elle inspira

tte seconde suspendue, ses yeux, d'un gris qui change avec la lumière, accrochèrent quelque chose à la base de sa gorge : un éclat opalin qui avait gli

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