Coma, Cruauté et la Trahison de Caleb
l. Le vent était violent, fouettant ma fi
faisant les cent pas c
Hailey », a-t-il dit, sa voix dangereusement calme.
ussée. Ça aurait été trop r
ussé. Il n'a pas coupé la corde qui liait mes mains. Il a commencé à la scier, lentement, dél
je pouvais encore voir la tache somb
rde a
is to
brûlante. J'ai eu l'impression que mon corps avai
pour Cédric, qui tournait le dos e
al. Ça devenait une routine familière. Chaque os m
e ses amis flagorneurs la fl
a voix dégoulinant d'une fausse sympathie. « Toujour
que le début. Je vais prendre plaisi
amis ont eu un hoquet. Elle a déchiré le col de sa
u'un, aidez-moi !
e. Il a vu les fausses larmes d'Hailey, sa robe déchirée, ma form
a mâchoire. « Tu ne peux tout simplement pas t'arrêter,
é, trop faible pour
x tant être une victime... » Il s'est tou
sont entrés dans la pièce. Un frisson
é Cédric. « Restez ici avec elle.
nt Hailey, elle l'a regardé avec une inquiétud
é », a-t-il dit froide
Les deux hommes ont avancé vers moi
mais j'étais clouée au lit. L'un d'e
irante m'a secouée. J'ai convulsé, et un jet de sang a jailli de ma bo
rreur. « C'est q
dé le sang, ses yeux
e mon lit a commencé à hurler,
t et le Dr Martin s'est précipit
s, qui se sont enfuis en courant. « Cod
e au téléphone. « Monsieur, c'est une urgence. Son cancer
. Le bip frénétique du mon
étrange m
st ça. C'
yeux, prête p