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Sa trahison, ma mémoire effacée

Sa trahison, ma mémoire effacée

Auteur: Gavin
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Chapitre 1 

Nombre de mots : 2376    |    Mis à jour : 04/08/2025

uillard de chagrin. Mon mari, Élian Moreau, le magnat de la tech, était un sain

le commentaire anodin d'une employée a fait voler mon monde

s années. Je les ai trouvés, une famille parfaite, Élian riant d'un bonheur que je n'avais pas vu depuis des années. Puis,

la mort de Léo était un tragique accident, réconfortant Élian qui s'en voulait pour un

i, menait une vie heureuse avec une autre famille. Il m'avait regardée souffr

ant que ses actes avaient conduit à la mort de notre fils ? L'inju

erches expérimentales sur l'effacement de la mémoire étaient mon seul espoir. « Je

pit

tre

o, s'était noyé. Quatre ans d'un brouill

magnat de la tech qui soutenait sa femme éplorée, sa dév

hose. Quelque chose pour avoir l'impression

civil de la mairie pour fina

ieu. Peut-être que cela m'a

u dans la file, les mains froides. Quand ce fut

le visage neutre. Puis elle s'es

dossier de votre mari », dit-elle

Qu'est-ce que ç

un dépendant, le système signale les autres. Pour les assurances et la succession. » Ell

culé. Mon souf

voix à peine un murmure. « Nous n

e en son nom. Il faisait des discours les larmes aux yeux. Il me serrait dans ses bra

ire, madame. » L'employée

à. Noir s

nt : En

Sabrina

ina

mme un coup de poing.

i avait harcelé Élia

rées de charité, ses yeux fixés

, hurlant qu'elle l'aimait, que je ne le mérit

obe blanche comme la mienne, essayant de forcer l'entrée de l'ég

araître de nos vies, du moins c'est ce que je croyais. Il avait voulu la ruiner complètement, mais je l'en avais em

ument officiel, à côté de celui de mon

i. C'était une erreur. Une

suis montée dans ma voiture, l'esprit vid

rentre tôt ce soir. Allons dîn

façon dont il m'avait courtisée avec une passion douce et implacable. C'était l'homme le p

r, il m'apportait de la nourriture et m'enveloppait dans une couverture,

rivale parce qu'ils voulaient qu'il déménage à l'étranger, et il ava

onges. Ça de

le document que j'avais photographié avec mon téléphone. Je devais voir

e et sécurisée non loin de la nôtre, à Neuilly-sur-S

'autre côté de la rue

ia

arçon, peut-être de trois ou quatre ans, le poursuivait avec un pistolet à eau. Élian

ur le visage. Elle s'est approchée d'Élian et l'a embrassé. Pas un baiser sur la jo

sourire de bonheur pur et sans mélange. Un bonheur q

mons se sont bloqués. Une larme a ro

s. La petite fa

et j'ai marché vers la maison, mes mouvements robotiques. Je me s

patient, sa voix douce. C'était un autre homme. L'homme dont j'étais tombée amoureuse

les regardant, sa main posée de mani

rs elle et a souri. «

x gouttes d'eau », dit-elle

, me ressemblait com

up d'œil, et son sourire s'est effacé. Il s'est

-il dit à Sabrina. « Je

egardant à travers une petite fenêtre du sous-sol. C'était une c

ien ? » Sa voix était celle que je connaiss

a propre voix à l'autre bout

bureau. Une réunion de dernière min

'avait suivi en bas. Elle a enroulé se

que ? » demanda Sabrina, s

éo aujourd'hui », dit Élian, le dos tourné vers

journée difficile pour elle. Ça fait quatre ans, Élian

ina, a

es parfois ? Si tu n'avais pas été avec moi cet après-midi-là, tu a

e s'est

t devenu froid

où Léo e

appel professionnel. Un appel crucial, vital pour son entreprise. Il était ressorti pour trouver Léo

. C'était un tragique accident. J'avais porté la culpabilité avec lui,

tte culpabilité m'avai

était qu'u

rofessionnelle. Il était avec ell

r au cadre de la fenêtre pour rester debout. J'a

e, mais il n'y avait aucun démenti. « Juliett

c'est la faute de qui ? Tu adores la voir brisée, n'est-ce pas ? Impuissante

Il est resté là, la

o lui manque tant, peut-être qu'on devrait la laisser rencontrer E

sois pas ridicule. Enzo est mon fils. Mon héritier. Il n'est pas un remplaçant. » I

ubant à ma voiture. J'ai conduit, ne sachant pas où

mordant mes genoux. Les larmes que j'avais retenues sont finalement venues, une

de nouveau vibré

ison, mon amour. J'

ntact était un mensonge. Il m'avait regardée pleurer notre fils, sac

vait construite, pendant qu'il vivait une autre

s'est transformé en quelque c

oir, un autre appel est arrivé. Pas Élian. Un anci

nglois. Mon a

Mais un instinct m'a poussée

e ça fait longtemps. J'ai entendu parler d'une nouvelle subvention de recherche, et ça m

mon système. Une seule goutte d'

ai-je murmuré, m

ça va ? Tu a

me suis souvenue de ses recherches. Son travail expérimental, controversé, brillant, sur l'effacemen

fil. « Juliette, c'est expérimental. Ce n'

ution désespérée se durcissant en mo

qu'est-ce qu

veux juste oublier. J'ai besoin de tout oublier. » J'ai étouffé

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