Épouser le PDG qui me déteste
pit
apit
érant chasser les relents de vin qui lui embrumaient encore l'esprit. La soirée avait été trop
ernière n'avait pas tardé à agir, comme pour signifier que l'affaire était déjà sce
un chemin par elle-même, et encore, sans aucune garantie. Débuter sans contact ni soutien dans le monde féroce de l'art et du di
ait que ses espoirs pour tout bagage. Un usurier avait bien voulu l'écouter, mais son regard avait glissé su
le, sensée. Elle avait un visage que l'on remarque, une silhouette qui attirait les regards. Mais aujourd'hui, des jeunes f
convaincu. Elle,
our les hommes, mais il adorait repérer les perles rares. Ils s'étaient rencontrés lors d'un concours de beauté à l'univers
fusé, préférant terminer ses études. Leur amitié était née là, au croisement de l'admiration et de la franchise.
e n'était pas seulement une figure du monde des affaires, i
imidait : une intelligence acérée, un regard implacable, et une cruaut
iscrète d'un journaliste sur leurs fiançailles supposées. La réponse de Ryu, brève et cingla
elle approcher un tel
r l'avertir que Ryu se trouvait dans le bar de l'
et suggestive à la fois, qui mettait en valeur ses courbes et dévoilait juste ce qu'il fallait.
. Elle s'approcha du comptoir et commanda un cocktail. Ju
e de rester dans le champ de vision de
ocha, le pas mal assuré. Il bredouillait quelque chose en japonais. Arya rép
ore, tenta de lui
a-t-elle avec fermeté. Puis, s'adressant au barman : « P
it toujours dans sa langue, les yeu
p ne l'atte
r. Le bras du client s'écrasa contre le dos du nouvel arriva
regard chargé d'
te secourir ? Tu ne sais pas esquiv
uva rien d'autre à d
nt avec eux. Elle le regardait, encore sous le choc. L'odeur subtile de son
es, bon sang ! Tu t'invent
t un poids léger su
ion des faits », dit-il, en
a veste sentait bon. Le tissu
ents, la main posée dél
prit à penser qu'il n'était peut-êtr