Un Mari Trop Parfait
ue je comprenne pourquoi. Mes mains étaient froides et moit
fond, je veuille prouver
tait tout pour moi, et j
bruisser les arbres avec la même insistance qu'Ivanna quand elle essayait de m'ouvrir les yeux. Ce jour-là, je
que je mentionne Matthew pour que ton visage s'éclaire. Tu ne crois pas qu'il serait temps de pen
fait. « Tu comptes vraiment être la complice de Matthew pour l'éternité ? Franchement, C
ire gêné. « Matth
t te dire de sauter dans le vide que tu le ferais, pas vrai ? Et s'il décidait de te vendre
« Tu délires, Matthew n
tinues comme ça ! » railla-t-elle. « Chloé, l'amour ne veut pas dire tout
l va t'aimer éternellement si tu ne fais que passer la serpillière et préparer les repas
défendre... mais mes mots restaie
étoile dans notre promo. Je te parle comme un
aresser la joue après m'avoir giflée. Je ne sais pas pourquoi
t, au fond de moi, quelque chose s'était fêlé. Ivanna avait peut-être raison. Même si elle av
mme s'il portait en lui toute la douceur du monde. « Chér
», dit-elle doucement. Puis, avant de raccrocher, elle ajouta : « Médite s
r par Matthew. « C'était Ivanna », lui répond
en souriant, décontracté. Il savait que n
u'elle ne t'avait pas
depuis longtemps, alors Ivanna n'avait pas pu l'observer récemment... Pour
dans les yeux, me prit les joues entre ses mai
ses ? » demanda
s. « À rien... Allons manger !
rassa à nouveau. Pourtant, une om
issit encore
trop tactile, lança d'un ton capric
rieuse. Elle s'accrocha à son
lé. « J'aide Chloé à faire la v
sait les bornes. « Vas-y, emmèn
chaise. « Papa, je viens a
, l'embrassa. « Papa revient vit
na : « À quoi bon
Je pris ma fille dans mes bras. « Chérie, papa acco
hocha la tête. Elle me serra
ur lourd. Un poids invisible s'installait dans ma poitrine. J'ignorais ce qu
ntre vite à la
e qui grondait en moi. Ce matin-là, rien ne laissait présager le chaos à venir. Matthew m'avait embrassée distraitement, avait pris les clés de la voiture, et s'était éclipsé pour dépos
l'aube, prétextant une réunion cruciale à neuf heures. Avec un sourire d'ange, il emmena Ava à la maternelle, me libérant de cette corvée. Toujours aussi attentionné, le moindre d
e coupa. Dans ma main tremblante, un petit paquet scellé me fixait : un préservatif. Inutilisé, mais suffisant pour briser une décennie de confiance. Nous n'e