L'Amour Fou du Roi

une dizaine de fois avant de parler.

été traînées hors de notre maison en flammes, elles ont supplié. Elles ont pleuré. Elles ont

n menton pour me forcer à le regarder.

ais qu'en est-il de la leur ? Tu

e heurta le sol de pierre avec un bruit sour

u dire un mot, mais tu n'as rien fait ! Votre famille a profité de la chute de la mienne,

ouleur dans mon cœur était bien pire. À travers un br

isse-lui au moins une mort digne... Qu'il ait un

llé devant moi, se superposa à un autre souveni

n'était pas le plus riche, ni le plus noble, mais il y avait une fierté dans sa posture, un feu dans son regard

m'avait aidée à retrouver mon chemin dans les jardins du

ue chose d'impensable pour une

e déclaré avec l'arrogance de la jeu

une phrase cohérente. Tout le monde autour de nous ri

ié mon père, l'Empereur. Je m'étais agenouillée devant l

ne d'autre que lui. S'il vous plaît, don

, m'adorait. Il avai

. J'avais supplié pour l'amour, et cela

e ramena au prése

rps ent

son horrible, dé

e coupures. Chaque jour, un morceau de lui sera enlevé, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus ri

ort des mille coupures. La torture la p

crier, plus supplier. Il n'y avait plus qu'un vide immense, un b

x faible et rauque de mon père. Il utilisa

Adèle..

on père dehors. Il ne se débattit pas. Alors qu'ils l'emmenaient, i

ment, je rampai vers l'endroit où il était. Je ramassai l'objet. C'était un petit co

enfonça dans ma paume. Je me relevai, chancelante

personne ne fréquentait. Avec mes mains nues, je creusai un petit trou dans la terre. J'y d

e chaussons en tissu, en forme de tête de tigre. Je les avais tricotés moi-même pour mon bébé. Après l'avorte

chaussons dans l'autre. Un tombeau po

talement et irrém

-