Cruauté Maternelle, Vengeance Paternelle
ciale qui a paralysé mon cerveau. Non. C'e
e lave en fusion qui a brû
. J'ai cherché autour de moi, frénétiquement. Un vieux pied de biche r
e le métal résonnant dans le silence mortel de l'entrepôt. Mes mains saignaient, mes
r. La porte s'est ouverte
sur le côté, immo
soufflé, ram
ge était bleu. Ses lèvres étaient ent
se bloquait
froide. C'était un morceau de pain dur, rassis, enfoncé si profondément qu
ubli du générateur. C'était une cruauté calculée, délibérée. Ils l'avaient non seulement laissée
secours, le SAMU, n'importe qui. Pas de réseau. L'atelier était un poin
iant à l'aide, mais il n'y avait personne. Juste l
ne petite citadine. Un jeune homme en est sorti, l'air nerveux
ame Bernard m'envoie v
ant par le col. "Rien ne va bien
mes mains ensanglantées et mon vi
'ai des instructions. Ju
i ton tél
é la tête,
ravail. Madame Bernard a dit de
hone de sa main et j'ai composé le numéro de
dit qu'elle fais
ai-je dit, ma voix un fi
Puis un pe
train de simuler pour que tu la sortes de là.
énérateur... Et elle avait du pain dans la
. Tu vois, elle a un bon cœur, ma Chloé. Pas comme ta fille qui se plaint tout le temps.
a rac
tant, qui tremblait
," ai-j
mandé son res
uleur dans ma poitrine, tout semblait lointain. J'ai senti mes forces m'abandonner. La pièce a commencé à
en béton, à côté du corps de