Loyer d'amour et de vengeance
encore viv
n, mon refuge, ne m'appartenait plus. Face à moi, Louis Bernard, mon locataire, était maintenan
calme et posée. « Au même prix qu'a
r d'espoir. C'étai
n ombre me recouv
ua-t-il, son regard parcourant mes jambes. « Et en
es mots que je lui avais dits il y a quelques mois, quand
s'était
les soirées mondaines, les gens faux et les conversations sur l'argent. Je préférais ma vie simple à Paris, dans mon grand appartement que j
un carnet usé. Il était beau, d'une beauté brute, avec des cheveux noirs en désordre et des yeux profonds qui semblaient contenir
e pas attirer l'attention. Je m'habillais avec des vêtements de marques de prêt-à-porter, même si mon d
cours. Il était le fils d'une famille rivale dans le vin, arrogant et ostentatoire.
déjeuner ? Il y a un nouveau resta
voiture, me montr
xpression. « Non, merc
le. Qu'est-ce que tu veux ? Un
oine, c'est que tu me
'ai vu Louis. Il sortait du bâtiment, son sac à dos semblant peser une tonne. Nos r
ché droi
ernard, c
connaisse son nom. Il a
ie. J'ai une propos
un sourcil
sortir a
détour. J'ai toujours été comm
endais un oui, peut-être un peu timide, mais un oui quand même. Quelle fille,
m'a laissée
No
raison. Il a juste continué son chemin, me laissant pla
enflammé ma curiosité. Personne ne m
téléphone, un modèle craquelé qui avait probablement connu des jours meille
ncore plus fauché que je ne le pensa
ier et si inaccessible, allait bientôt être à moi. Je n'avais aucun doute là-dessus. C'était juste une q