Renaissance après l'Infamie
Chaque fois qu'Amélie se sentait assez forte pour se rebeller, u
it pas de l'amour. C'était des paiements. Des compensations anticipées pour la destruction qu'il préparait. Il l'avait couverte d'or pour mieux la dépouiller e
as rester là. Ell
air moins sévère, est venue lui apporter son plateau
basse. « Mon mari me retient ici contre mon g
ité, regardant la
s... Je perdrai
e, les larmes aux yeux. « C'est une quest
lement sorti un petit téléphon
nutes. Pa
e en biologie moléculaire. Un homme brillant, intègre, qui avait toujours cru en son potentiel scientifique ava
é à la trois
llô
nt... c'est Amélie
eu un s
es choses terribles dans la presse... Ils
ante. « C'est un mensonge. Julien... il me ret
parole en doute une seule seconde.
élie. Ne panique pas.
om de l'hôpital et le
Fais semblant de dormir. Ne montre aucune rés
espoir a percé les ténèbres. Elle a rendu le télépho
les yeux, essayant de calmer son cœur qui batt
Elle a été réveillée non pas par le professeur
-dessus d'elle. L'un lui a plaqué la main sur la bouc
it de la déplac
it pas le professeur Laurent. C'ét
ndolori. Ils l'ont traînée hors de la chambre, puis de l'hôpital, par
é, la plongeant dans
d'or ? » a dit une voix grave à côté
s là, mais on va quand même se faire rembourser. D'une manière ou d'une autr
'étaient pas de simples gardes du corps. C'étaient les "ac
mblait de tout son corps, pas seulement de peur, mais de ra
ée dehors et poussée dans ce qui semblait être une cave ou
lement éclairée par une seule ampoule nue. Elle était sal
e a remarqué quelque chose. Un minuscule point roug
ca
li
s. Il fallait qu'il assiste au spectacle. Qu'il la regarde se fai
place, une haine froide et pure a rempli son être