L'Humiliation Devant L'Autel
, la porte de l'épicerie s'est ouverte et deux femmes, élégamment vêt
e surprise de
'arrêtant sur moi avec une curiosité dédaigneuse. Je les ai reconnues : c'étaient ses amies
conde, une brune avec un air pincé. "L
ont approchées, formant un petit cercle autour de moi et
simple jean, un polo et des baskets, des vêtements confortables pour une course rapide, bien loin des cos
un petit sourire qui montrait qu'elle appréciait le spectacle. "I
ont
-être d'un travail. Dis-moi, Lucas, tu fais des livraisons maintenant ?" a
ercé. Aujourd'hui, elles n'étaient qu'un bruit de fond désagréable. Mon esprit était ailleurs. Je pensais à Sophie qui m'attendait, à son jus de pamplemousse qui allait se
silence, le prenant pour de
t compatissant. "Toujours le même. Tu n'as pas changé
ur mon bras, un geste p
. Lucas et moi avons b
sur un ton qui se voulait doux mais qui ét
ès tout ce temps... Ça doit être difficile. Mais ne t'inquiè
vomir. Elle me voyait comme un projet d
ts de Paris," a-t-elle continué, comme pour m'impressionner. "Je gagne
importante que le monologue narcissique de Chloé. Ma femme, la femme qui portait mon enfant, m'attendait. C'était la
t dit, ma voix calme et
s sourcils, surp
J'insiste pour qu'on aille prendre un café. J'ai an
je devais me plier à ses exigences comme au bon vieux temps. L'envie de rire m'a