Mon Retour, Leur Chute Inévitable
ureau. L'air était lourd, tendu. Je sentais les regards curieux de mes collègue
de mon patron, M. Bernard, m'a informé
rière son grand bureau en acajou, l'air grave. Et
ue dans ma vie précédente. Il avait dû ve
a voix neutre mais glaciale. « Votre père e
a tête, un faux sa
Bernard, je suis inquiet pour ma fille. Elle dépense de l'argent qu'elle
r devoir. M. Bernard fronçait les sourcils, visiblement mal à l'aise mais auss
as à votre salaire, » a continué M. Bernard, en me regardant dr
héri, de plus e
ns ! Je suis son père, je dois la protéger, même
ppe de sa poche et l'
uvés dans sa chambre. Regardez ces sommes.
Dans ma première vie, j'avais paniqué, niant en bloc, criant que
calme. J'ai regardé mon p
Tu es allé dans ma chambre pour v
t, pris au dépour
ai pas volés ! Je
s à mon patron sans mê
oid contrastait violemment avec l'agitation de mon p
ces transactions ? » a demandé M.
de les regarder. Je connais
« Mais avant, puis-je vous
egardé,
nquiet pour moi, que
a-t-il clamé, u
lieu de m'appeler pour me demander des explications, tu as préféré courir chez mon em
roisé les bras, son expression d
is les
é. « ...sont en réalité des virements que je lui fais chaque mois. Pour l'aider à p
rnard l'historique de mes virements permanents
inté les pho
ise m'a versée le mois dernier pour le succès du projet Durand
ait, la bouche ouverte, incapable de formuler un mot. Il
ements, puis a regardé les faux relevés. Il a seco
glaciale en se tournant vers mon père, « je
uverte. C'était un de mes collègues, Marc, qui
ère est là ? Il m'a appelé hier, il m'a posé des questions très étranges sur ton sal
gâteau. La preuve irréfut
sé du blanc au rouge. Il s'est levé d'un
... Je... je me suis i
i le bureau, sans mê
'a regardé,
omotion était une erreur. Nous allons rectifier cela im
on père avant qu'il ne quitte la pièce, je savais que la guerre était loin d'être te