Amélie: La Vengeance Couture
e ma mère, habituellement douce, est stridente d'excitation et de stress. Elle crie des ord
nt désespérément de parler à mes parents, de leur rappeler que j'étais la fiancée, p
Alexandre. Ton accident a tout changé
y aura ni larmes,
loin de la tenue de mariage qui m'attendait. Alors que j'ouvre la
me voyant. La joie lai
mme ça ? Tu devrais te reposer. C'
e pas que c'était cen
dans les yeux, mon
sor
our me bloquer le passage. « Ne va pas gâcher le mariage de Clara. E
t ma carrière pour une femme que je connaissais à peine, par pur réf
umenter. Je la contourne et com
a mère aux deux bonnes
échangent un regard mal à l'aise mais obéissent. Elles
ernière marche, mon
dis-je d'une voi
z pas les choses difficiles, » murmure Jeanne, l'air
ces de cette mascarade, prêts à me séquestrer pour assurer le bonheur de Clara et la consolidation de leur nouveau statut
Une grande paire de ciseaux de tailleur y est posée. Des ciseaux lourd
apide, je
ées. Ma mère pousse un cri étran
ma main, la pointe vers le bas. C'est un symbole. Un symbole de mon art, de
je vous le dis. Écart
sort de son atelier. En voyant
st-ce que tu crois faire ? Tu vas ruin
un petit rire, dénu
aujourd'hui ? Qui a permis à Alexandre d'obtenir le soutien de la maison Mer
en avant. Ils
tte réputation, tout ça grâce à mon sacrifice. Et vous osez parler de ruine ?
plus bouger. Mes parents sont figés, choqués
ant, le chauffeur se tenant respectueusement à côté de la portière ouverte.
dernière fois vers
sera le dernier événement heure
rrière moi les visages stupéfaits de ceux qui m'ont trahie. La
s, s'il vous plaît,
a maison qui fut autrefois mon foyer et qui est