Le Prix du Mensonge
plus déconcertant. Dans ma vie précédente, il m'a fallu des mois de frustration et de confusion pour le réaliser : Chloé Martin était ce que j'appelais une "pseudo-humaine". Elle avait a
, quelques jours seulement après son arriv
café, s'il te plaît ? Pas trop
elle était revenue avec une tasse. Je l'avais remerciée et j'avais bu une gorgée. C'était de l'eau ch
est ? » avais-je demandé, e
rdée avec une inn
t 'pas trop fort'. Un seul
iait dans le contexte d'un café – une dose normale de café, mais peut-être avec plus d'eau ou de lait. Elle m'avait écoutée attentivement, hocha
de relire un document pour le clie
a des fautes de frappe,
était venue à mon bureau
fait,
ement corrigé les fautes de frappe. Elle avait réécrit des paragraphes entiers, changé la
her que les fautes de frappe, » avais
diatement empreint de c
ndre des initiatives'. J'ai pensé que c'était une bonne init
r ses actions les plus insensées. Elle les sortait de leur contexte et les appliquait avec une logique implacable et dénuée d
aux yeux. « Je suis désolée. Tu n'as pas été assez
nfuses, et elle, la pauvre stagiaire dévouée mais limitée, qui faisait de son mieux. Plusieurs fois,
eanne. Elle essaie
ructions extrêmement détaillées, décomposant chaque tâche en ét
ner, face vers le bas. Tu vas appuyer sur le bouton vert. Tu vas at
à faire du vélo. Et au moindre écart, à la moindre situation imprévue non couverte par le protocole, elle rede
s, passer une main lasse sur son visage. Il venait de lui demander de réserver une salle de réunion et elle avait rése
te et volontaire. Il n'avait pas encore compris qu'il avait invité un virus dans son système. Un viru