Mon Mari, Mon Ennemi Juré
rd, Marc annonça d'un
r de famille ce week-end. Ils ve
nouvelle étape de mon humiliation publique. Sa famille ne m'avait jamais vraiment acceptée. Po
très bien, Marc, » r
du bien de voir du monde. Et puis, tu ne
ue je sois le témoin de quelque chose. Probablement de sa nouvelle vie
ns le salon, je la vis. Sophie était là, au centre de l'attention, riant aux éclats avec la mère de Marc, Hélène. Ell
sourire s'effaçant pour laisser place à
tions si inquiets. J'espère que tu n
éloigné pour saluer Sophie. Il posa une main possessive au bas de son dos, un geste intime et public qui me transperça
essa à peine la parole. Le dîner fut une torture. Assise à table
ce nouveau restaurant était brillante.
hie. Marc a bien de la chance de vous
stalla autour de moi. Marc et Sophie échangeaient des regards
urna finalement vers
... charmant. Un peu rustique, mais charmant. J'espère juste que tu n
C'était une attaque directe, une façon de me ra
s, sa voix suintant l
admirable, cette... simplicité. C'est important d
'était pire que l'insulte. C'était de la p
l'hôpital, mais plus intense. Un spasme violent me plia en deux. Je laissai échapper un
rds se tournè
asse encore ? » lanç
mes jambes flageolèrent. La
rmurai-je, che
, mais c'était pour se précipiter aux côtés de
bien ? » dit-elle en se
épaule de Sophie, son regard passant
dure. « Elle fait toujours du cinéma.
se, seule face à sa famille hostile. Sa mère me foudroya du regard, comme si ma souffrance
protection venait de choisir publiquement ma rivale, me laissant agoniser seule. La douleur physique n'était rien comparée à cette humiliation, à cette tr
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