Mon Mari, Mon Bourreau Financier
mblait lourde comme une pierre. Licenciée. À quatre mois de grossesse, parce que mes nausées matinales sévères m'empêchaient de me concentrer a
apé, les yeux rivés sur son téléphone. Il
s rent
avec un sourire, me demandait si le bébé et moi allions bien. Mais depuis quelques semai
e petite voix. « Ça ne va
pas de l'inquiétude que je voyais dans ses yeux, ni de la compassion. C
ée ? Comm
dais qu'il me prenne dans ses bras, qu'il me dise que ce n'était pas grave, que nous allions surm
ème, Amélie. Un
grossesse pour "m'aider", est sortie de la cuisine à ce mom
? » a-t-elle demandé av
ail, » a lâché Antoine, s
re sur la table basse
on va faire maintenant
l'argent. J'étais là, au milieu du salon, enceinte, vulnérable, et les deux pe
archer. Il m'a regard
Amélie. Sérieusement. J
ans sa bouche. Il a attrapé une feuil
ieds-
tant. Je sentais que ce qu'il
er comme avant. Il faut être juste. J'ai pensé qu'on devrait tout partage
enses ? Alors que je venais de perdre mon em
s sérieux ?
'est la seule solution équitable. On ne peut pas se pe
oureusement derrière lui, c
un couple, on doit être partenaires.
ne famille. Son visage m'était soudain étranger. La douleur de la trahison était si vive, si profonde, que j'ai eu du mal à
ma réponse, sûrs de leur bon droit. Une colère froide a commencé à monter en moi, chassant le chagrin. S'ils voulaient
e et j'ai esquissé
que c'est la meilleure
leur cupidité et leur