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Née Pour Subir, Vivre Pour Détruire

Chapitre 1 

Nombre de mots : 1005    |    Mis à jour : 03/07/2025

maternité, sa mère venait de s'éteindre, laissant derrière elle un nouveau-né doté d'un talent que person

Jeanne, l'enveloppa dans une couverture bon marché et laissa sa propre fille dans le luxe qui aurait dû être celui de sa nièce. Monsieur Dubois, son frère, anéanti par le deuil, ne remarqua rien. Il pensait élever la fille de sa défunte épouse, confiée aux soins d

ieux ornait les couvertures des magazines. Chaque robe qu'elle portait devenait une pièce iconique, chaque défilé un triomphe. Ces ro

ave humide, sous les doigts

assées par les heures de couture, les piqûres d'aiguilles et les produits chimiques. Elle travaillait jour et nuit, coupée du monde, dans le sous-sol de l'atelier de sa tante. Ses

être présentée lors du gala où l'agence "Étoile de Paris" annoncerait sa nouvelle directrice artistique. La robe, un

e, se regardant dans le grand miroir du salon. "

ers sa fille, le visa

as, ma chérie. O

anne, qui se tenait en

u attends ? Règl

nt la coupe. Elle vit immédiatement

ci," dit-elle d'une voix basse, ten

grimace de dégoût en vo

pas avec tes

comme toujours. Ses vêtements simples, presque négligés, et ses mains de t

foudroya

ême pas faire ton travail co

immédiatement. Elle ne bougea pas, ne montra aucune émotion. Elle avait l'habitude. La douleu

tante," mu

corrigea sèchement Sylvie. "Maintenant, à geno

, malgré leur apparence, se mirent à danser sur le tissu avec une précision surnaturelle. En quelques sec

nait devant le

là. C'es

e, inspecta le travail avec un œil critique avant de hocher la tête, satisfaite

a Sylvie à Jeanne comme à un chien.

a des années, après que Jeanne eut tenté de révéler la vérité à un journaliste curieux, sa tante l'avait emmenée à la cave. Elle avait tracé un symbole étrange sur son cou avec une encre noire et avait prononcé des mots da

a solitude, elle entendit la voix de S

oir, tout le monde n'aura d'yeux que

ains tremblantes posées sur la table de travail. Elle ne pleurait pas. Les larmes s'étaient taries depuis longtemps. À la place, une rage froide et p

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